Dénutrition
La dénutrition consiste en un état anormal de
l'organisme qui manque d'apports nutritionnels suffisants pour fonctionner. La
dénutrition peut avoir de nombreuses causes, parmi lesquelles le jeûne, l'anorexie,
l'obésité, des problèmes digestifs ou l'alcoolisme.
Les symptômes de la dénutrition sont un indice de
masse corporelle inférieur à la moyenne, accompagné souvent, mais pas toujours,
d'une forte perte de poids dans un temps limité. La dénutrition est traitée par
une supplémentation nutritionnelle, et, le cas échéant, par une action sur la
cause.
Malnutrition
La malnutrition désigne un état pathologique causé
par la déficience ou l'excès d’un ou plusieurs nutriments. L'apport alimentaire
anormal peut provenir d'une nourriture en quantité inadaptée au besoin – apport
calorique insuffisant ou, au contraire, excessif – ou de mauvaise qualité – carences
nutritionnelles ou excès de graisses –. D'autres facteurs, notamment
psychologiques et pathologiques, interviennent également.
Dans les pays en développement, le plus grand
problème nutritionnel est la “sous-alimentation”, due à un apport calorique
insuffisant. Mais partout dans le monde, diverses formes de malnutrition
existent, débouchant notamment sur l'obésité et de graves carences.
La malnutrition a ainsi été appelée la “faim invisible”
ou “faim cachée” (“hidden
hunger” en anglais) par l'Organisation
des Nations unies, affectant deux milliards de personnes souffrant de carences
en sels minéraux et en vitamines, pouvant provoquer des maladies mortelles.
La malnutrition, dans la forme d'une carence en
iode, est la cause la plus répandue de trouble mental dans le monde.
Si l’enfant est bien nourri pendant les premières
années de vie, cela peut avoir un effet profond sur sa santé, ainsi que dans
ses fonctions cognitives, émotionnelles et psychosociales, surtout dans
l’attention, la mémoire, la capacité d’apprentissage et le rendement scolaire.
Conséquences de la malnutrition sur la cognition et le comportement
La malnutrition chronique affecte la
croissance et la maturation du cerveau.
Les étapes du développement sont nombreuses et complexes : les
cellules neurales doivent proliférer, migrer au bon endroit, établir les bonnes
connexions, former les bons récepteurs à neurotransmetteurs et bien se couvrir
de myéline, la substance protectrice essentielle au bon transfert des messages
nerveux.
Un état de malnutrition dans la
phase critique du développement du cerveau humain, soit du deuxième trimestre
de grossesse jusqu’à l’âge d’environ 2 ans, peut ainsi causer des dommages
irréversibles.
Par après, entre la petite enfance
et l’adolescence, un épisode aigu de famine peut avoir des répercussions sur la
cognition et le comportement, mais ceux-ci ont plus de chance de récupérer une
fois l’enfant est bien ré-alimenté.
Il n’est pas seulement question de
poids et de périmètre crânien. On peut
avoir un enfant aux mensurations normales qui présente aussi des déficits
neurocognitifs. Il faut alors rechercher
les carences en micro et macro nutriments notamment le fer, l’iode, l’acide
folique, le zinc, la vitamine B12 et les acides gras polyinsaturés oméga-3 ou
encore se pencher vers d’autres causes infectieuses ou génétiques pour
expliquer le retard.
Les déficits cognitifs provoqués par
la malnutrition se manifestent par des difficultés de mémoire, une lenteur
intellectuelle ou des troubles spécifiques d’apprentissage en lecture, écriture
ou mathématiques.
L’enfant peut présenter des problèmes comportementaux tel un déficit d’attention avec hyperactivité, des difficultés de régulation émotionnelle ou de socialisation. Dans les cas extrêmes, on constatera un retard mental.
On estime d’ailleurs que les “survivants“ de la malnutrition ont en moyenne un déficit de 5-15 points dans les tests standards d’intelligence par rapport aux enfants bien nourris vivant dans un même environnement. Le degré d’atteinte cognitive est proportionnel à la sévérité de la malnutrition.
L’enfant peut présenter des problèmes comportementaux tel un déficit d’attention avec hyperactivité, des difficultés de régulation émotionnelle ou de socialisation. Dans les cas extrêmes, on constatera un retard mental.
On estime d’ailleurs que les “survivants“ de la malnutrition ont en moyenne un déficit de 5-15 points dans les tests standards d’intelligence par rapport aux enfants bien nourris vivant dans un même environnement. Le degré d’atteinte cognitive est proportionnel à la sévérité de la malnutrition.
Les vitamines et les minéraux améliorent l'apprentissage et la mémoire chez les enfants en âge scolaire
Selon une étude réalisée par le groupe NEMO (Nutrition
Enhancement for Mental Optimization) publiée dans American Journal of
Clinical Nutrition, les chercheurs ont évalué les effets d’ajouter une
vitamine spécifique et une combinaison de minéraux dans une boisson quotidienne.
Les scientifiques ont étudié 396 enfants bien
nourries en Australie et 384 enfants malnutris en Indonésie. Dans chaque pays,
les enfants ont été placés au hasard dans l’un des quatre groupes ; chaque
groupe a reçu soit une boisson avec un mélange d’oligo-éléments (fer, zinc,
acide folique et vitamines A, B-6, B-12, C), ou de l’huile de poisson (DHA et
EPA), ou avec les deux agrégats, ou sans aucun agrégat (placebo).
Après 12 mois, les enfants en Australie ayant reçu
le mélange d’éléments nutritifs ont montré des niveaux plus élevés de ces
oligoéléments dans le sang, ce qui signifie que leurs corps les ont absorbés.
Aussi, le test qui mesure leur capacité d’apprentissage et de mémoire fut nettement
meilleur par rapport aux enfants des autres groupes. Il y avait une tendance
similaire en Indonésie, mais seulement chez les filles. L’ajout d’huile de
poisson à la boisson fortifiée n’a pas démontré de majeurs effets sur la
cognition.
Cette étude confirme que la nutrition peut
influencer positivement sur le développement cognitif à l’école, même chez les
enfants qui sont bien nourris. Les chercheurs suggèrent que cette découverte
pourrait être pertinente dans le monde occidental.
L'alimentation influence le développement physique et cognitif
Une étude, réalisée par des chercheurs de l’International
Food Policy Research Institute publiée dans la revue médicale The Lancet en 2008, a mis en évidence,
dans des populations souffrant de pauvreté, qu'en assurant une bonne
alimentation aux enfants de 0 à 3 ans, on augmentait leurs chances d'avoir des
bons revenus à l'âge adulte.
Les chercheurs ont mis en place entre 1969 et 1977
un programme de distribution alimentaire dans 4 villages défavorisés du
Guatemala. Les enfants en bas âge de deux de ces villages ont reçu
quotidiennement une boisson riche en protéines et en nutriments ; ceux des deux
autres villages la même boisson mais moins nutritive.
Les chercheurs ont retrouvé vingt ans plus tard
ces enfants devenus adultes, soit 1500 personnes et ont étudié leur situation
économique. Résultat : les hommes qui avaient reçu avant l'âge de 3 ans un
complément alimentaire nutritif avaient un revenu supérieur de 46% à ceux qui
n'avaient bénéficié que d'un complément placebo. En revanche, aucune différence
de revenu n'était observée chez les femmes.
Malnutrition pendant la grossesse
Une mère qui s’alimente mal donne naissance à un
bébé malnutri, un enfant qui sera victime de malnutrition chronique. Beaucoup
de mères ne se rendent pas comptent que le fœtus dépend d’elles pour avoir
l’énergie, les protéines, les vitamines et autres éléments nécessaires à son
bon développement.
Le fait de ne pas être bien nourris durant leur
développement intra-utérin peut être fatal aux enfants. S’ils arrivent à survivre,
ils pourraient subir de différentes séquelles, aussi bien sur leur
développement physique – croissance staturale et pondérale – que sur leur développement intellectuel – développement du cerveau et cognitif –.
Les carences en
vitamines et micro nutriments ne sont pas toujours visibles mais peuvent avoir
des conséquences graves sur la santé de la mère et de l’enfant. Des carences en iode peuvent entraîner des
handicaps physiques et mentaux chez l’enfant, un accouchement d’enfant mort-né
ou encore des fausses couches.
Raison pour laquelle, il est indiqué aux femmes
enceintes d’adopter un régime équilibré complet durant la grossesse, en
mangeant un repas de plus tous les jours, soit quatre repas, surtout pendant le
dernier trimestre, tout en enrichissant le plat de base avec des aliments riches
en fer et en vitamine A et en utilisant des sels iodés.
Les médecins conseillent toujours les mères de
pratiquer l’allaitement exclusif durant les six premiers mois du bébé et
d’introduire des aliments adaptés à son âge à partir de son huitième mois. A ce
moment, il faut adopter une alimentation variée et équilibrée en quantité
et en qualité, tout en faisant recours au sel iodé et en respectant les règles
d’hygiène.
Et les conséquences ne se répercutent pas
uniquement sur l’avenir de l’enfant concerné mais aussi sur le développement
socio-économique du pays. Sachant que la capacité de production des personnes
atteintes de malnutrition chronique diminue de 10% par rapport à celle des
personnes non affectées par ce problème.
Influence de la nutrition dans le rendement scolaire
La croissance de l’enfant de 6 à 12 ans est dans
une phase de ralentissement, mais elle demeure encore considérable. À cette
période de sa vie, l’enfant déploie normalement une activité physique intense
et sa dépense énergétique peut être plus grande que celle d’un travailleur de
force. Pour cette raison, et parce qu’en plus l’école impose à l’élève un
rythme de vie particulier, celui-ci a des besoins nutritionnels spécifiques.
La hantise de
sous-alimenter l’enfant qui reste fréquente chez les mamans qui le laissent
alors manger à toute heure, et qui n’hésitent pas à le bourrer de sucreries, résulte dans un excès alimentaire fort
préjudiciable et un conflit avec l’enfant qui ne mange plus aux repas des mets
équilibrés, mais grignote n’importe quoi librement.
Il peut y avoir aussi un
déséquilibre dans la répartition de l’alimentation, le petit déjeuner étant
trop maigre, trop rapidement pris, alors que le dîner est trop abondant, pris
trop tard dans la soirée. On force
l’enfant à manger au moment où il est le plus fatigué et qu’il cesse son
activité, et on ne le laisse pas faire le plein au moment du départ.
Aujourd’hui, la relation entre la malnutrition et
le développement intellectuel est établie. L’enfant mal nourri est apathique, irritable, et perd la joie
d’apprendre. De nombreuses études ont établi que les enfants qui
souffrent de malnutrition manifestent clairement des retards importants dans
leur développement psychomoteur et intellectuel. Ils peuvent avoir jusqu’à 10
et même 15 points de moins de quotient intellectuel que les enfants bien
nourris.
Le facteur le plus répandu de malnutrition réelle
chez l’enfant d’âge scolaire est l’absence
systématique d’un petit déjeuner complet et substantiel. L’insuffisance
chronique du petit déjeuner est responsable chez l’écolier d’un coup de pompe, un état d’hypoglycémie,
qui entraîne un relâchement de l’attention dans les deux dernières heures de la
matinée.
L’enfant en carence de glucose n’arrive plus à
bien comprendre, il devient nerveux et irritable, et perd confiance en lui. La
récréation de 10 heures lui permet souvent d’avoir accès à des excitants,
boissons sucrées, chocolat, etc., qui vont élever artificiellement sa glycémie
chancelante. Cependant, ils ne peuvent pas fournir à son cerveau le glucose
dont il a désespérément besoin pour étudier, glucose que seule une bonne ration
de pain complet le matin aurait pu lui fournir.
L’habitude de sauter le petit déjeuner est une
forme grave de malnutrition qui affecte beaucoup l’enfant d’âge scolaire,
perturbant son développement, et troublant son apprentissage. L’écolier ne peut
pas soutenir l’effort mental qui est exigé de lui au cours d’une matinée de
classe, s’il n’a pas fait auparavant le “plein en glucose”, et consommé un repas substantiel riche en
céréales non raffinées et en pain complet, accompagné de fruits frais, et d’une
source appropriée de protéines sous forme de noix, graines, lait de soja ou
d’amande.
La carence en eau, après
la carence en oxygène, est de toutes les carences alimentaires la plus grave et
la plus lourde de conséquences. On a
établi qu’une perte en eau de seulement 10% de l’eau contenue dans l’organisme
cause de sérieux dérangements – inattention, idées embrouillées, perte de
mémoire, idées noires, fatigue, faiblesse musculaire, etc. –, alors qu’une
perte de 20% d’eau peut entraîner la mort. Les besoins en eau d’un enfant sont au minimum de 1,5 litre par jour.
Par contre dès que l’enfant se livre à des activités physiques, et transpire,
ces pertes atteignent facilement 2 litres, et parfois 2,5 litres.
Lutte contre la malnutrition
L'Unicef s'efforce de prévenir les pires effets de
la malnutrition en accordant aux pays des financements et des aides pour
distribuer des micro nutriments essentiels pour renforcer le système
immunitaire, comme le fer et la vitamine A, durant les campagnes de vaccination
ou à travers des aliments enrichis.
L'Unicef, les gouvernements, les producteurs de
sel et des organisations du secteur privé tentent aussi d'éliminer la carence
en iode, qui est la principale cause des retards mentaux et des lésions
cérébrales évitables, dans le cadre de la campagne d'information sur l'iodation
universelle du sel (USI).
Dans les communautés, l'Unicef explique aussi
comment offrir aux enfants une bonne nutrition aux personnes qui en ont la
charge, en pratiquant l'allaitement maternel, par exemple.
Dans les situations d'urgence, l'Unicef évalue les
besoins nutritionnels et sanitaires des populations affectées, encourage l'allaitement
maternel en créant des espaces protégés pour les femmes enceintes et qui
allaitent, fournit des micro nutriments essentiels, soutient des centres
d'alimentation thérapeutique pour les enfants atteints de malnutrition grave et
fournit des vivres pour les orphelins.
Le lait
riche en énergie spécialement fabriqué pour les enfants sévèrement
malnutris, l'est généralement en mélangeant du lait de vache (lait en poudre),
de l'huile et du sucre. Or en région tropicale les chèvres produisent un lait
de qualité et souvent moins cher. Des études ont montré qu'il était aussi
efficace que le lait de vache pour lutter contre la malnutrition.
La spiruline est une micro-algue extrêmement riche en protéines, renferme entre 55 % et 70 % de protéines d’excellente qualité, grâce à leur proportion d’acides aminés. Cette micro-algue contient les 8 acides aminés qui doivent impérativement être fournis à notre organisme. Normalement, on ne les trouve tous ensemble que dans les produits d’origine animale, pas dans les végétaux. Les micro-algues sont des exceptions à la règle.
La spiruline constitue également une source intéressante de fer, de bêta-carotène et de vitamines du groupe B qui y sont présents en quantité très appréciable. Ainsi, 2 à 4g de spiruline suffisent à couvrir les besoins quotidiens chez l’enfant en fer, zinc et vitamine A.
Elle contient également une quantité importante d’acides gras insaturés de la famille des oméga-6 (acides gamma-linoléniques).
Du fait de sa teneur élevée en protéines, cette micro-algue a démontré son efficacité contre la malnutrition des enfants, notamment grâce à sa teneur exceptionnelle en protéines contenant les principaux acides aminés indispensables à l’organisme.
Elle est consommable fraîche, crue ou cuite, ou réduite en poudre après séchage. Elle se mélange aisément à tous les aliments, auxquels elle ne se substitue cependant pas, et vient en compléter la ration protéinique et vitaminique.
Elle est considérée comme l'aliment le plus riche en protéines actuellement connu et représente une arme efficace contre la malnutrition. La spiruline peut être consommée chez les enfants, et elle pourrait venir équilibrer le régime alimentaire des plus jeunes qui souffrent de malnutrition.
Plusieurs études sur les propriétés de la spiruline pour lutter contre la malnutrition et la malnutrition infantile ont été réalisées. Des études scientifiques ont montré que consommer un gramme de spiruline par jour correspond à manger un kilo de fruits et légumes de toutes les variétés, la contribution nutritionnelle de cette nourriture est telle que différentes organisations mondiales travaillent à favoriser la production de cette algue antique pour combattre la malnutrition au niveau mondial.
Sur le terrain, en Afrique, en Asie, et en Amérique du Sud, de nombreuses expériences ont démontré l’efficacité impressionnante de la consommation quotidienne de 10g. de spiruline pendant trois mois, dans des cas de malnutrition aiguë. Les gouvernements se penchent de plus en plus sur cette algue pour combattre la malnutrition dans le monde.
L’Organisation mondiale de la santé et l’Organisation des Nations Unies l’ont déclarée la meilleure nourriture pour lutter contre la malnutrition dans les pays en développement, où il est difficile de se nourrir avec des protéines.
La spiruline – une solution aux problèmes de malnutrition
La spiruline est une micro-algue extrêmement riche en protéines, renferme entre 55 % et 70 % de protéines d’excellente qualité, grâce à leur proportion d’acides aminés. Cette micro-algue contient les 8 acides aminés qui doivent impérativement être fournis à notre organisme. Normalement, on ne les trouve tous ensemble que dans les produits d’origine animale, pas dans les végétaux. Les micro-algues sont des exceptions à la règle.
La spiruline constitue également une source intéressante de fer, de bêta-carotène et de vitamines du groupe B qui y sont présents en quantité très appréciable. Ainsi, 2 à 4g de spiruline suffisent à couvrir les besoins quotidiens chez l’enfant en fer, zinc et vitamine A.
Elle contient également une quantité importante d’acides gras insaturés de la famille des oméga-6 (acides gamma-linoléniques).
Du fait de sa teneur élevée en protéines, cette micro-algue a démontré son efficacité contre la malnutrition des enfants, notamment grâce à sa teneur exceptionnelle en protéines contenant les principaux acides aminés indispensables à l’organisme.
Elle est consommable fraîche, crue ou cuite, ou réduite en poudre après séchage. Elle se mélange aisément à tous les aliments, auxquels elle ne se substitue cependant pas, et vient en compléter la ration protéinique et vitaminique.
Elle est considérée comme l'aliment le plus riche en protéines actuellement connu et représente une arme efficace contre la malnutrition. La spiruline peut être consommée chez les enfants, et elle pourrait venir équilibrer le régime alimentaire des plus jeunes qui souffrent de malnutrition.
Plusieurs études sur les propriétés de la spiruline pour lutter contre la malnutrition et la malnutrition infantile ont été réalisées. Des études scientifiques ont montré que consommer un gramme de spiruline par jour correspond à manger un kilo de fruits et légumes de toutes les variétés, la contribution nutritionnelle de cette nourriture est telle que différentes organisations mondiales travaillent à favoriser la production de cette algue antique pour combattre la malnutrition au niveau mondial.
Sur le terrain, en Afrique, en Asie, et en Amérique du Sud, de nombreuses expériences ont démontré l’efficacité impressionnante de la consommation quotidienne de 10g. de spiruline pendant trois mois, dans des cas de malnutrition aiguë. Les gouvernements se penchent de plus en plus sur cette algue pour combattre la malnutrition dans le monde.
L’Organisation mondiale de la santé et l’Organisation des Nations Unies l’ont déclarée la meilleure nourriture pour lutter contre la malnutrition dans les pays en développement, où il est difficile de se nourrir avec des protéines.
Un enfant mieux développé, actif et en bonne santé, avec des attitudes positives et un comportement complexe, modifie son milieu, souffre moins de maladies, demande plus de nourriture et fait que sa famille lui accorde plus de soins et d’enseignement, augmentant sans cesse la quantité de stimuli.
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