lundi 2 mars 2015

Aliments Nocifs pour le Cerveau



« C'est la nutrition qui fait l'unité du corps humain cohérent »
Nous sommes ce que nous mangeons


Les aliments qui arrivent en tête de la consommation dans les pays industrialisés sont le pain, les céréales, les sandwichs, les pâtes, les pizzas, les biscuits, les gâteaux, les desserts en tout genre, les chips, frites et biscuits d’apéritifs à base de pomme de terre, qui sont des glucides. La plupart des publicités pour des produits alimentaires les concernent, car tous ces produits sont faits à partir des matières premières les plus bas de gamme, et les moins chères.

Aliments très salés


Le sel a un impact néfaste sur la pression artérielle, et augmente le risque de maladie cardiaque. Des études scientifiques révèlent également qu’une trop grande consommation de sodium peut affecter les fonctions cognitives et entraver les processus de pensées. De même, il peut provoquer des symptômes similaires à ceux de la drogue, c’est-à-dire un syndrome d’abstinence chronique.

Sel raffiné blanc


Le sel raffiné est un poison. Le sel de cuisine vendu habituellement dans le commerce n'a plus rien d'un sel naturel, auquel 82 des 84 éléments initiaux ont été extraits pour produire ce sel industriel raffiné, ces éléments étant commercialisés séparément, entre autres comme compléments alimentaires ou préparations d'éléments-traces et de substances minérales.

Il en résulte : dessèchement des tissus, dépôts de crasses suite à la liaison du sel toxique aux aminoacides, d'où la formation de calculs rénaux et l'accumulation d'acide urique dans les articulations et les muscles. La perturbation de l'équilibre électrolytique fait naître des œdèmes susceptibles, à leur tour, de provoquer l'obésité et des troubles de la circulation sanguine.


Aliments très sucrés


Le saccharose, ou sucrose, est le sucre "commercial" extrait de la betterave sucrière ou de la canne à sucre. Ce sucre est le constituant du sucre blanc. Le saccharose est riche en calories, mais complètement dénué de vitamines et de minéraux. Étant dénué de minéraux, il les consomme dans l'organisme pour sa transformation en glucose dans le sang, d'où son effet déminéralisant.

En plaçant un aliment gras dans un bol de sucre, il durcit et s'oxyde. C'est ce que l'on appelle la réaction de Maillard. Cette même oxydation peut se produire  à long terme  au niveau du cerveau, en cas d'apport excessif de sucre.


Les aliments contenant des métaux lourds et neurotoxines


Le plomb et le cadmium sont captés par le blé via le sol et se retrouvent dans le pain. Ces métaux sont naturellement présents dans les sols, mais peuvent aussi résulter d’une pollution industrielle.

Le plomb est toxique pour le cerveau, les reins et le cœur. Le cadmium est un métal lourd classé comme cancérigène pour l’homme, mais aussi toxique pour les reins et la reproduction.

L’Environmental Protection Agency reconnaît que l’acide perfluoro-octanoïque (PFOA) dans les doublures de sacs de pop-corn aux micro-ondes est probablement cancérogène, et plusieurs études indépendantes ont lié le produit chimique à l’origine des tumeurs. Il y a du plomb dans le pop-corn.

L’arsenic inorganique. S’il est naturellement présent dans les sols, l’arsenic a été aussi longtemps utilisé dans la composition de pesticides, polluant ainsi les terres agricoles pour de nombreuses années. Il entraîne diverses maladies graves telles que le cancer ou des maladies cardiovasculaires.

L'acrylamide, est un composé chimique neurotoxique qui apparaît lors de la cuisson des féculents à haute température.

De petites quantités d'acrylamide se trouvent ainsi dans les frites, biscuits, viennoiseries et croûte du pain. Il apparaît dans le café lors de la torréfaction. Il est recommandé de ne pas dépasser trois tasses de café par jour.


Les aliments contenant des glucides simples


Tous les produits raffinés sont extrêmement toxiques pour la santé  farine blanche, pâtes blanches, pain blanc, riz blanc  ayant un indice glycémique très élevé, qui "pompent" sur les réserves du corps les minéraux pour être assimilés.

Le pain blanc traditionnel est réalisé avec des farines blanches raffinées appelées T55. T55 veut dire que pour 100g de farine, il y aura 0,55 grammes de minéraux. Le pain blanc est fait d’amidon, c’est à dire des sucres simples  du glucose  assemblés en très longues chaînes, ce qui forme de l’amidon.

La baguette blanche ou le pain blanc contiennent une grande quantité de produits chimiques. Le blé reçoit dans les champs en moyenne 7 traitements chimiques (fongicides et engrais azotés de synthèse).


Les protéines transformées


Les viandes transformées, y compris les charcuteries, bacon, saucisses et hot-dogs, contiennent des conservateurs chimiques  nitrite de sodium et nitrate de sodium  qui les font paraître fraîches et appétissantes, mais qui peuvent aussi causer le cancer. Ces protéines n’isolent pas le système nerveux, contrairement aux protéines naturelles qui aident à renforcer le système nerveux, celles-là l’affaiblissent.

La peroxydation des lipides


C’est le phénomène par lequel certains aliments qui contiennent des lipides deviennent rances. Par ailleurs, la peroxydation des lipides entraîne également la formation de radicaux libres responsables de vieillissement prématuré et de dommages cellulaires au niveau de l'organisme. Les oxydants endommagent aussi les graisses de l’organisme ainsi que ses protéines.

On parle de stress oxydatif, quand il y a surproduction de radicaux libres et que le système de défense naturel est débordé.


Les fritures



Il s’agit de tous les aliments liés à la restauration rapide, baignés dans de l’huile ou de la graisse chaude. Les fritures contiennent des produits chimiques, des additifs, des arômes artificiels ainsi que des colorants. Elles influencent le comportement, provoquent une hyperactivité et détruisent le fonctionnement cognitif ainsi que les cellules nerveuses du cerveau. Parmi toutes les huiles utilisées pour la friture, l’huile de tournesol est la plus dangereuse.


Les graisses transformées


Ces graisses rendent le cerveau plus lent, ce qui affecte la qualité des réponses ou des réflexes lorsque l’on parle ou bien lorsque l’on conduit. Elles augmentent aussi le risque d’accident vasculaire cérébral. Si l’on en consomme pendant un laps de temps assez long, le cerveau se mettra à fonctionner comme lorsque l’on est atteint de la maladie d’Alzheimer. Elles produisent également du cholestérol, provoquent l’obésité ainsi que certains problèmes cardiaques.

Les types de gras

Gras saturés

Un gras saturé, un vrai, est saturé naturellement. Ils sont dits saturés, car chaque atome de carbone est occupé par une molécule d’hydrogène. Un gras saturé n’a pas subi de transformation par l’homme. Les gras saturés sont très stables au contact de la chaleur et ne rancissent pas. On les retrouve dans les huiles tropicales (huile de noix de coco, huile de palme), le beurre, le lait et la viande animale.

Gras mono-insaturés

Un seul lien d’hydrogène est manquant dans sa structure moléculaire pour qu’il soit saturé.  Ce type de gras est assez stable, et ne devient habituellement pas ranci à température de la pièce. Mais, lorsqu’utilisé pour la cuisson, il s’oxyde assez rapidement. L’huile d’olive, certaines noix et les avocats contiennent des gras mono-insaturés.

Gras polyinsaturés

Il manque au minimum deux liaisons d’hydrogène à cette molécule. Elle est très instable et s’oxyde facilement. Ce type de gras se retrouve en grande quantité dans la nourriture raffinée et transformée, vu leur faible coût d’utilisation et de production. Les huiles végétales comme les huiles de soya, canola, maïs, tournesol et sésame sont toutes des exemples de produits contenant des lipides polyinsaturés.

Gras trans

Un gras trans, hydrogéné, ou partiellement hydrogéné, comme la margarine, est un aliment synthétique fait en laboratoire. L'addition d'hydrogène à la liaison double des acides gras les rend saturés. Cela modifie les propriétés des huiles. L'huile devient plus stable et plus solide à la température de la pièce. Leur utilité est d’être incorporés aux produits transformés que les grandes compagnies agroalimentaires produisent pour prolonger la durée de vie de leurs non-aliments. Sur le plan nutritif, ils n’ont aucune valeur et affectent négativement la santé.

On les considère plus dangereux pour le système cardio-vasculaire que les gras saturés. Selon la neurologue Lotta Granholm, directrice du Center on Aging de l'Université Médicale de Caroline du Sud, ils détruisent la mémoire et endommagent les cellules cérébrales. La plupart des margarines contiennent des gras trans, les aliments cuits en haute friture, les produits de la boulangerie et les pâtisseries, les biscuits et les aliments pour casse-croûte.

La margarine peut être fabriquée à partir d'une seule huile végétale ou d'un mélange d'huiles végétales. Elle contient 80 pour cent d'huile et 20 pour cent d'eau, de couleur, de saveur, d'agents émulsifiants. La structure moléculaire de la margarine se rapproche beaucoup plus de celle du plastique que de celle d’un aliment.

La résistance à la chaleur


Le concept d’exposition à la chaleur est l’une des clefs à comprendre afin de choisir les types de gras que nous consommerons. Plus un gras est instable, plus il est fragile et réactif à la chaleur – il s’oxyde, il devient rance . Les gras polyinsaturés sont les plus réactifs. Les gras saturés (naturellement) sont très résistants à la chaleur. Il est donc judicieux de cuisiner avec eux.


Ingrédients alimentaires transformés


Édulcorants artificiels

On pense souvent que les édulcorants sont meilleurs que le sucre, notamment lorsque l’on suit un régime pour perdre du poids. Ces produits contiennent moins de calories, mais peuvent être contre-productifs pour l’organisme. S’ils sont pris sur une longue période, ils peuvent provoquer des lésions cérébrales et diminuer les capacités d’apprentissage.


Aspartame E951. L’aspartame est un édulcorant synthétique hypocalorique. Il affecte la mémoire à court terme, peut amener le diabète, la maladie de Parkinson et d’Alzheimer, la fibromyalgie, la fatigue chronique, des maux de tête, des vertiges, etc. L'aspartame bloque la production de sérotonine.




Additifs alimentaires

Ce sont des substances ajoutées aux aliments dans un but technologique afin d'en améliorer les qualités. Ils peuvent avoir de nombreuses fonctions différentes.


Glutamate monosodique


C’est une substance qui se présente sous la forme d’une poudre blanche et sert à renforcer le goût des ingrédients présents dans l’aliment et à agir comme un excitant sur les papilles et surtout, sur le cerveau.

Le glutamate est très largement utilisé dans l’industrie agro-alimentaire. Il est présent dans de nombreux aliments transformés, comme les soupes, les bouillons, les sauces et en grande quantité dans les barquettes de plats préparés, la charcuterie sous vide, les biscuits, les snacks etc. Dans certains pays, il est même utilisé comme condiment, à l’instar de la moutarde ou du poivre.

Le glutamate détruit certains neurones en autorisant l’invasion excessive de calcium dans les cellules. Cette invasion déclenche des taux excessifs de radicaux libres qui tuent les cellules.

Les colorants synthétiques


Ils sont dérivés du pétrole pour la plupart, sont peu coûteux, leur coloration est intense et uniforme et il en existe une grande variété de nuances. Les colorants synthétiques sont omniprésents dans les aliments.

Tartrazine. C’est un colorant synthétique jaune. Il est utilisé dans les boissons, merguez, charcuteries, bonbons, gâteaux, médicaments. Il est interdit en Autriche, Finlande, Norvège et en Suisse.

La tartrazine peut déclencher des réactions allergiques de peau, crises d'asthme, augmenter l'hyperactivité et les déficits d'attention chez les enfants. Le colorant s'est avéré cancérigène, dangereux génétiquement et nuisible au système immunitaire. Le colorant peut aussi contenir de l'aluminium sans que ceci soit indiqué sur l'étiquette. Le métal est soupçonné de faire progresser les maladies de démence comme la maladie d'Alzheimer et la maladie de Parkinson.

Fructose


Il est présent dans tous les aliments transformés. On le retrouve aussi dans les aliments auxquels on ajoute du sirop de maïs (les sodas, les jus sucrés, les fruits en conserve). Il peut endommager la mémoire et la capacité d'apprentissage au fil du temps et provoquer un stockage supplémentaire de graisse sur le ventre.

Il se trouve dans toutes les boissons non alcoolisées (avec du sirop de maïs riche en fructose en général), les boissons de jus de fruits sucrées, aliments de malbouffe traités comme les gâteaux et les bonbons, ainsi que les vinaigrettes toutes prêtes achetées en magasin, dans les pains et les céréales et les condiments comme le ketchup.

Sirop de glucose à haute teneur en fructose ou sirop de maïs


Son utilisation est très répandue, étant donné son faible coût et ne crée pas de sentiment de satiété, ce qui permet d’en consommer sans jamais avoir la nausée, comme c’est le cas avec le sucre brut comme le miel ou le sirop d’érable.

Le sirop de maïs a des effets pervers sur la santé: hypertension, résistance à l’insuline, diabète, obésité, dépendance. Le sucre constitue aussi un important facteur de croissance pour les cellules cancéreuses en plus d’être associé au déclin cognitif.

Huiles végétales partiellement hydrogénées


C’est un gras trans qui permet de prolonger la durée de conservation des produits alimentaires et d’en améliorer la texture.

Les procédés de fabrication industrielle par hydrogénation modifient les propriétés biochimiques des huiles végétales. Elles subissent un raffinage pour les solidifier. Cela entraîne la saturation des acides gras et l'apparition de la forme trans.


Les pesticides des fruits et légumes

De nombreux résidus de pesticides se trouvent dans les aliments. La moitié des fruits et légumes produits par l’agriculture intensive en contiennent. Mais certains les absorbent plus que d’autres.

L'essentiel des pesticides, et particulièrement des insecticides, sont utilisés à l'extérieur. Ils sont déposés sur les fruits et légumes via un pulvérisateur. C'est pourquoi les végétaux poussant à l'intérieur de la terre, tels que les pommes de terre, sont moins susceptibles d'être contaminés.

Ceux qui ont la plus forte teneur en pesticides et en engrais chimiques sont la pomme, le céleri, la fraise, la pêche, les épinards, les abricots, le raisin, le poivron, la laitue. Ces aliments contiennent des résidus de pesticides qui, s'ils ne sont pas bien éliminés, peuvent s'accumuler dans l'organisme et endommager les neurones.

La première précaution est de bien laver les fruits et légumes. Pour plus d’efficacité, on peut ajouter du bicarbonate de soude à l’eau de rinçage et nettoyer la peau avec une brosse à légumes.


Les aliments et boissons le plus mauvais pour le cerveau

La malbouffe. D’après une étude de l’université de Montréal, la «junk food» modifie les substances chimiques du cerveau et mène à des symptômes relatifs à la dépression et l’anxiété. Ce genre de repas très gras diminue la production de dopamine, une substance responsable du bonheur et du sentiment de bien-être. La dopamine renforce aussi les fonctions cognitives, la capacité à apprendre, la motivation et la mémoire.

Ce type de nourriture est rempli de calories et de graisses polyinsaturées ou transformées, qui sont néfastes pour les synapses du cerveau. Elles agissent aussi négativement sur les molécules liées à la mémoire et à l’apprentissage.

Sodas

Substances néfastes qu’on trouve dans les sodas :
* l’acide phosphorique, qui interfère avec le métabolisme du calcium, et cause de l’ostéoporose ainsi qu’un ramollissement des dents et des os ;
* le sucre, facteur de diabète, maladies cardiovasculaires, inflammation chronique, arthrose, cancer ;
* l’aspartame : il y a plus de 92 effets secondaires liés à la consommation d’aspartame, dont les tumeurs cérébrales, l’épilepsie, la fragilité émotionnelle, le diabète ;
* la caféine, qui provoque tremblement, insomnie, maux de crâne, hypertension, déminéralisation et perte de vitamines.

La consommation de sodas augmente le risque d’obésité de 60%, surtout chez les enfants.

Effets survenus après avoir bu l’équivalent de 7 morceaux de sucre dans une canette de Coca


Une dizaine de minutes plus tard. L‘acide phosphorique contenu dans la boisson gazeuse masque le sucre par un goût acidulé, donnant ainsi l’illusion de désaltérer.
Après une vingtaine de minutes. Le taux de sucre sanguin augmente brutalement, mettant l’organisme à l’épreuve. Le pancréas s’emballe, sécrète de l’insuline en masse. Celle-ci est malgré tout vitale, elle seule peut permettre de transformer l’énorme surplus de sucre dans le sang en graisse, ce que le corps est mieux capable de supporter. Il peut stocker la graisse, tandis que le glucose est pour lui un poison mortel lorsqu’il est en haute dose dans le sang. Seul le foie est capable de stocker le glucose mais sa capacité est très limitée.
Après une quarantaine de minutes. La grande quantité de caféine présente dans le Coca est entièrement absorbée par le corps. Elle dilate les pupilles et fait monter la pression sanguine. Au même moment, les stocks de sucre dans le foie saturent, ce qui provoque le rejet du sucre dans le sang.
Après ¾ d’heure. Le corps se met à produire plus de dopamine. Il s’agit d’une hormone qui stimule le «centre du plaisir» dans le cerveau. La même réaction se produirait si l’on prenait de l’héroïne. Le sucre peut également provoquer une dépendance. A tel point qu’une étude a démontré que le sucre était plus addictif que la cocaïne.
Après 1 heure. Entrée en chute de sucre (hypoglycémie), et le niveau d’énergie, aussi bien physique que mental, s’effondre.

Les boissons light aussi néfastes que les sodas sucrés

Selon un rapport du professeur Susan Swithers de l’Université américaine de Purdue (Indiana), les édulcorants utilisés dans les boissons light, pour empêcher la prise de poids, pourraient être aussi néfastes pour la santé que les sodas les plus sucrés.


Ces édulcorants artificiels trompent le cerveau et empêchent de ressentir la satiété. Ces boissons light ont aussi le défaut de doubler les risques de développer un syndrome métabolique, un ensemble de symptômes qui favorisent les crises cardiaques.

En France, les sodas light sont taxés depuis 2011. A New York, la consommation de sodas est encadrée, la taille maximale des gobelets a été limitée à 470 ml.





Pâtisseries et viennoiseries


Elles réunissent dans leurs compositions de nombreux produits toxiques: sucre, lait, graisses saturées, beurre, margarine, acide gras trans, farine blanche, colorants chimiques, additifs, etc. Les phosphates d’aluminium utilisés dans les pâtisseries sont des neurotoxiques.



Hots dogs et saucisses



Ces deux viandes entrent dans la catégorie des viandes transformées. Ces plats font fureur chez les enfants, également en tant que repas rapides et lors des barbecues. Ces plats sont riches en sodium et contiennent des nitrates de sodium et de potassium. On y amalgame aussi du sucre, du sel, de l'eau, de l'acide ascorbique et de l'érythorbate de sodium et beaucoup de gras.





Viande transformée


D’après une étude publiée dans l’American Journal of Clinical Nutrition, le fait de manger beaucoup de viande rouge transformée  qui comprend notamment la charcuterie, les saucisses, les hot-dogs, le jambon et le pâté  peut réduire l’espérance de vie de pratiquement deux années par rapport à ceux qui n’en mangent pas.


Chips et  Pringles

Les Pringles sont fabriqués à partir d’une poudre de riz, blé, maïs et copeaux de pomme de terre. Cette poudre, mélangée à de l’eau, est ensuite compressée pour former une bande continue très fine d’un mètre de large. Des formes ovales sont appliquées sur cette pâte, puis chaque bout de pâte découpé est mis sur un moule arrondi qui est plongé onze secondes dans l’huile bouillante. A la sortie, une soufflerie élimine l’huile en excès, puis les Pringles passent sous un double jet de poudre de sel aromatisé.

La pomme de terre et la farine passées à l’huile bouillante produisent de très nombreux composés toxiques. Le plus dangereux ingrédient est l’acrylamide.

Frites

Selon une enquête espagnole publiée dans la revue PLoS ONE, la consommation d’acides gras trans et de graisses saturées contribuerait à augmenter le risque de dépression.

Une étude menée par des chercheurs de l'Académie des Sciences de Californie a révélé que la consommation de frites, ou de chips, provoquait la production, par l’organisme, de substances très semblables aux cannabinoïdes, présentes dans la marijuana. Le processus addictif débuterait sur la langue: au contact des graisses présentes dans ces aliments, un signal serait envoyé au cerveau, puis à l'intestin, pour qu’il fabrique ces molécules ayant des effets pervers sur certaines cellules de l'organisme. Ce qui expliquerait les sensations de bien-être et d’insatiabilité qui conduiraient à en manger plus.

Pizza industrielle

Les industriels ont créé en 2007 du faux «fromage» dont le nom industriel est Lygomme ACH Optimum, en vue de faire des économies sur les coûts de matières premières nécessaires à la fabrication d’une pizza.

Le Lygomme ACH Optimum contient des amidons, du gélifiant, un galactomannane (fibre végétale et acalorique présente dans les graines) ainsi que du carraghenane (un extrait d’algues rouges épaississant et stabilisant). Tous ces composants remplacent les protéines laitières. Une autre version de ce faux-fromage contient également de l’huile de palme et du glutamate de sodium.

Biscuits

D’après les chercheurs de San Diego School of Medecine de l’université de Californie, les graisses de certains biscuits comme les cookies et autres aliments transformés pourraient avoir un effet néfaste sur la mémoire. En cause, les acides gras trans utilisés pour améliorer la texture, la conservation ou la saveur des gâteaux. Ces graisses artificielles pénètrent dans chaque cellule du corps et peuvent perturber les fonctions cellulaires.

Glaces industrielles

La plupart des crèmes glacées commerciales contiennent ces ingrédients :

Éthylène glycol. Ce produit chimique est utilisé comme agent émulsif à la place des œufs. C'est aussi un ingrédient présent dans les solvants à peinture et dans l'antigel.

Pipéronal. Ce produit chimique, remplaçant l'essence de vanille, est aussi utilisé pour tuer les poux.

Aldéhyde C 17. Utilisé pour imiter la saveur de cerise, c'est aussi un liquide inflammable que l'on retrouve dans les teintures à base d'aniline, les plastiques et les caoutchoucs.

Acétate éthylique. Utilisé comme essence d'ananas, c'est aussi un nettoyeur pour le cuir. Il a été prouvé que ses vapeurs causent des dommages chroniques aux organes.

Aldéhyde Butylique. Utilisé dans la crème glacée à saveur d'érable, c'est aussi un ingrédient de la colle à caoutchouc.

Acétate acrylique. Utilisé comme saveur de banane, c'est aussi un solvant à peinture.

Chewing-gums

La gomme base est constituée de nombreux composants chimiques tels que le lithium (utilisé dans les batteries), l’acétate de polyvinyle (utilisé dans certaines colles et peintures). L’antioxygène BHA est susceptible d’être cancérigène.

D’autres ingrédients :

Acesulfame-k E950. Édulcorant 200 fois plus sucrant que le sucre. Il serait plus dangereux que la saccharine et l’aspartame.
Risque pour la santé : hausse de cholestérol, cancers, problèmes aux poumons, hypoglycémie, etc.
L’aspartame E951. Il est très utilisé dans les produits lights (boissons, gâteaux, chewing-gums, etc.).
Risques pour la santé : des troubles digestifs, des maux de tête, insomnies, prise de poids, douleurs articulaires, trous de mémoire, crises de panique, infertilité, etc.
Complexes cuivriques des chlorophylles et des chlorophyllines E141. C’est un colorant vert.
Remarque: Produit chimique. Innocuité mal connue. A éviter.
Bioxyde de titane E171. C’est un colorant blanc.
Remarque: Produit chimique. Innocuité mal connue. Dans le doute, s’abstenir.
Maltitol. Provoquerait des troubles intestinaux (crampes d’estomac, aérophagie voire diarrhée pour certaines personnes).
Sorbitol. Provoquerait des diarrhées et des grandes pertes de poids à de fortes doses.



Bons conseils

Boissons. Le matin de tisanes de thé, thym, romarin, sauge, et le soir verveine, camomille, tilleul, achillée millefeuille. Trois verres d'eau au repas. Ni coca, ni soda, ni Nutella. Un à 2 cafés par jour.

Fruits et salades. 4 à 6 fruits frais par jour, si possible bio et de saison, dont un fruit frais à chaque récréation pour les enfants en âge scolaire. Le meilleur sucre est le fructose présent dans les fruits frais et les miels. Arrosez vos salades d'huile d'olive bio, vierge, première pression à froid et de jus de citron.

Consommez fruits secs et oléagineux. Noix, noisettes, amandes, pignons.

Consommez poissons et fruits de mer. 2 à 3 fois par semaine, pour avoir l'iode, les Oméga 3, les minéraux et les oligo-éléments pour nourrir vos neurones.

Consommez moins de gluten. Il est présent dans les pains, pizzas, pâtes, viennoiseries, biscuits qui se comportent comme des sucres. Les remplacer par les pains des fleurs, graines et farines de sarrasin, millet, quinoa, châtaigne.

Consommez plus de calcium végétal qu'animal.

Évitez les vinaigrettes à salades achetées en magasin.

Ne pas acheter d’aliments transformés. Choisir uniquement des aliments avec un seul ingrédient comme les fruits, les légumes, les haricots, les œufs, les graines et de la viande provenant d’élevage en plein air.

Faire de l'exercice régulièrement en transpirant. Pour éliminer les pollutions des pesticides, insecticides.

Suggestions quant à la consommation de lipides


* Incorporer une bonne source de gras à chaque repas. L’huile de noix de coco, le beurre et l’huile d’olive sont d’excellents choix. Une cuillère à table par repas est une bonne ligne directrice à suivre.
* Consommer des gras mono-insaturés à l’occasion.
* Éviter les gras polyinsaturés et les gras trans le plus possible.
* Après un entrainement, réduire la quantité de gras afin de permettre l’absorption des glucides au maximum.

Le moyen le plus radical pour se préserver est d’éviter d’acheter de la nourriture industrielle et des plats tout faits. La nourriture cuisinée à la maison a toujours tendance à être moins riche en composés toxiques, et c’est la seule dont vous puissiez être sûr de ce qu’elle contient.


Les fruits régénèrent
 le cerveau









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