L’enfant naît avec un cerveau immature qui va se développer au fil des
expériences vécues. L’enfant apprend par ses sens. Le toucher est
particulièrement important pour le développement physique, affectif et mental
de l’enfant.
L’enfant s’identifie aux adultes qui l’entourent. Il apprend en les
observant, en les imitant, en copiant leurs gestes et en répétant leurs
paroles. En jouant avec d’autres enfants, il développe son langage, apprend à
communiquer, à partager, à exprimer ses besoins, ses sentiments et même à
résoudre des conflits. La mémoire joue un rôle fondamental dans le fonctionnement
cognitif général.
Mémoire autobiographique
Pendant les premières années de vie l’enfant emmagasine une incroyable
quantité de concepts et de mots tels que ceux reliés aux objets et aux
personnes qui l’entourent ainsi que des actions et des gestes qu’il pose.
Mémoire d’évocation
Évoquer. C’est se donner une représentation de
ce que l’on voit, de ce que l’on entend et de ce que l’on ressent.
L’évocation est la dernière étape du processus
de mémorisation. C’est à dire que l’enfant doit faire exister ces nouvelles informations dans sa tête.
Les évocations sont visuelles, auditives ou mixtes. Il y a toujours un
type de perception, puis d’évocation qui prime : pour les uns, ce sera le
son qui amènera l'image ; pour les autres, ce sera l’image qui servira de
support et le son viendra s’y plaquer.
L’enfant, simplement en se projetant, en se voyant prêt à apprendre, va
se préparer physiquement et mentalement
pour apprendre.
Stimulation dès l’enfance
Répondre à toutes ses questions. Même s’il ne comprend
pas tout, un enfant est capable de mémoriser et de comprendre très vite les
choses qu’il côtoie tous les jours.
De l’espace pour bouger dès les premiers mois. Offrir à l’enfant la possibilité de ramper, de se retourner ; cela
développe la psychomotricité, la latéralité.
Faire sortir l’enfant dès
qu’il marche. Laisser-le bouger, jouer et développer
la psychomotricité, faire du sport dans un club ou dans le jardin (natation,
vélo, basket, football, badminton, tennis de table, danse).
Favoriser le
«4 pattes» et ne pas le faire marcher trop vite. La
marche à 4 pattes d’un enfant est très importante pour les apprentissages
futurs, il s’agit d’une étape à ne pas passer. La marche à 4 pattes,
développe la coordination des mouvements (les deux mains et les deux jambes),
et fait travailler les deux parties du cerveau. De plus, cette marche
développe les muscles et favorise une bonne posture (et position future).
Manipuler la souris et le clavier d’un ordinateur ordinaire dès 2 ans. Pas d’ordinateur "pour enfants" qui sont très limités et accentuent trop
leurs jeux sur les lettres et les nombres (pas très amusant pour un enfant)
avec une qualité graphique médiocre. L’enfant apprend à réfléchir (liens
logiques), à manipuler une souris (structuration de l’espace). Il est actif au
niveau cérébral.
Proposer un tricycle dès 18 à 24 mois, une trottinette à 2 roues dès 3
ans et de l’espace pour rouler. Pédaler développe la
latéralité, l’enfant doit travailler avec son côté gauche et droit, il fait
travailler ses deux hémisphères.
Dès 2 à 3 ans, jouer avec les quantités qu’il voit tous les jours. Demander à l’enfant de compter ou de reconnaitre le nombre de bonbons,
de couverts, de personnes, de bouteilles, de poupées qu’il voit. L’enfant va
comprendre très vite les quantités et les nombres qui sont associés à ces
quantités. Dès 3 ans, apprendre à reconnaître la quantité 1, 2 et 3 avec
différents objets (progressivement sans compter).
Des exercices physiques pour développer le cerveau de l’enfant
Un enfant est plein de vie lorsqu’il bouge, court, saute ou lance ce
qu’il a sous la main. Et c’est normal car le mouvement c’est la vie. Le
mouvement se développe de manière précise et organisée car il est en lien
direct avec le développement du cerveau. L’exercice physique commence dès le
plus jeune âge.
Gymnastique cérébrale
C’est un
ensemble de mouvements et d’activités ciblés, simples, agréables et amusantes à
exécuter et qui remplissent d’énergie. Ces mouvements, spécifiques, aident à
l’apprentissage, à l’organisation et à la concentration.
Les enfants peuvent faire ces mouvements corporels simples, dessinés
pour les aider à connecter les deux hémisphères du cerveau. Il est bon de les
réaliser tous les jours, pendant 30 seconds. Chaque exercice se répète à peu
près 10 fois pour qu'ils soient profitables.
Avant de commencer...
1. Maintenir une respiration abdominale pour améliorer le parcours
d'oxygène à travers le corps et les niveaux d'attention.
2. Prendre au moins une gorgée d'eau, qui lui servira comme conducteur
d'énergie.
Placer une main sur le nombril et avec l'autre main tirer des boutons
«imaginaires» à la jonction de la clavicule au sternum (à la poitrine) dans un
mouvement circulaire dans le sens horaire.
* Stimule la fonction visuelle et la lecture.
* Améliore la relation hémisphérique et la coordination bilatérale.
Boutons de l’espace
Placer deux doigts au-dessus de la lèvre supérieure et placer l'autre
main sur les derniers os de la colonne vertébrale. Respirer plusieurs fois.
* Stimule l'apprentissage.
La marche croisée
Bouger un bras simultanément avec la jambe de la partie opposée du
corps. Il y a différentes formes pour le faire : soulever un genou et le
toucher avec la main du côté opposé, ou plier un genou en portant le pied en
arrière et le toucher avec la main du côté contraire. On peut le faire aussi
avec le genou et les coudes, pour les plus petits. Améliore :
* L’orthographe, l’écriture, la lecture et la compréhension
* La coordination droite/gauche, la respiration, la forme
* L’audition et la vision
* La conscience de l’espace
* La concentration.
Le bâillement énergique
* Stimule l'expression verbale et la communication.
* Oxygène le cerveau, relâche la tension dans la zone faciale.
* Améliore la vision.
Le huit paresseux ou couché
Dessiner le chiffre huit couché avec du papier et crayon ou
imaginairement. (Horizontalement: ∞). Commencez à dessiner dans le centre et
continuer vers la gauche, revenir vers le centre et terminer le huit sur la
droite. Plus le huit est grand, plus l’exercice est profitable.
* Stimule la mémoire
* Meilleure compréhension de la lecture et de l’écriture
* Améliore la perception de la profondeur et la capacité à se
concentrer, l'équilibre et la coordination.
Chapeau de la pensée
Mettre les mains sur les oreilles et essayer de "supprimer les
rides" à partir du canal de l'oreille vers l’extérieur.
* Stimule la capacité d'écoute.
* Contribue à améliorer l'attention, la fluidité verbale et
l'équilibre.
Le hibou
Placer une main sur l'épaule opposée, faire pression énergiquement et
tourner la tête sur le côté. Respirer profondément et jeter l'air, en tournant
la tête vers l'épaule opposée. Répéter l'exercice avec l'autre côté.
* Stimule la compréhension en lecture.
* Relâche la tension dans le cou et les épaules.
Double gribouillis
* Stimule l'écriture et la motricité fine
* Expérimente avec la musculature de bras et épaules
* Améliore l'habileté sportive et du mouvement.
Les jeux sont importants pour
développer le cerveau de l’enfant
Le jeune enfant a besoin de jouer :
c’est sa façon d’apprendre. À cet âge, les
processus inhérents au jeu et à l’apprentissage se stimulent l’un et
l’autre : le jeu inclut des dimensions d’apprentissage et vice-versa.
C’est par le jeu qu’il acquiert les connaissances les plus importantes telles les compétences intellectuelles, sociales, physiques et
affectives. Dans le jeu, l’enfant apprend à combiner ses idées, ses impressions
et ses intuitions avec ses expériences et ses opinions. De plus, il favorise
l’interconnexion entre le langage, les émotions, les mouvements, la
socialisation et la cognition.
Le jeu de l’enfant évolue progressivement. Il va devenir de plus en
plus cérébral. Par exemple, il voudra comprendre
pourquoi un objet rond n’entre pas dans un carré, même en poussant dans tous
les sens. Il exerce alors son jugement.
Les spécialistes insistent sur l’importance du jeu non dirigé, qui laisse toute la latitude à l’enfant de s’amuser
comme il le souhaite. C’est que, de plus en plus, le rythme de vie interfère
avec le temps libre alloué au jeu. Dès leur plus jeune âge, les enfants passent
de longues heures en transit ou en groupes. En groupe, les jeux sont plutôt
organisés et encadrés. Ils laissent moins de place à l’autonomie et à la
créativité.
Autre aspect positif du jeu : Il permet également de renforcer le
lien parent-enfant.
Apprendre grâce au jeu
Au cours des premières années de leur vie, les enfants explorent ou
jouent en faisant les mêmes choses encore et encore. Les bébés, par exemple,
vont saisir des blocs, les manipuler et les porter à leur bouche. Les
tout-petits vont construire des tours avec leurs blocs simplement pour les
faire tomber.
Cet entraînement répété leur permet d’apprendre et de développer leur
confiance en eux. Les enfants apprennent ce que sont les objets et ce qu’ils
peuvent en faire. Ils commencent à comprendre leur univers.
Pour les tout-petits, le jeu est une façon naturelle d’apprendre. Au
lieu d’intégrer un concept à la fois, comme on le fait en classe, les enfants
doivent apprendre et utiliser plusieurs idées et objets en même temps.
Jouer, c’est aussi joindre l’utile à l’agréable. Le jeu rend les
enfants heureux ce qui facilite leur apprentissage et le rend même plus
efficace.
Tous les jeux demandent du comptage : nombre de pions, nombre de
joueurs, dés, cartes à jouer, comptage des points, compter pour jouer à
cache-cache.
Jouer avec ses
enfants aux jeux de société dès 3 ans. Manipuler un dé, avancer des pions,
compter les pions favorise les connaissances numériques. Jeux d’échecs (dès 5-6
ans), jeu de scrabble (dès 6-7 ans), jeux de cartes, jeu de dames, puissance 4,
sont des jeux qui développent l’esprit mathématique et logique.
Tous les jeux de mouvements développent
* La latéralité et le fonctionnement du cerveau gauche et droit
simultanément.
* La coordination des mouvements et la psychomotricité.
* La vision spatiale en 3 dimensions.
* La musculature. L’enfant s’habitue à bouger, à faire travailler ses
muscles, ce qui favorisera les efforts physiques, ce qui évitera l’obésité.
* Le dynamisme du cerveau.
Tous les jeux d’extérieur, de société, d’ordinateur développent
* La logique
* Le comptage (des pions, des cartes, du nombre de joueurs,…).
Le puzzle
Les premiers
puzzles de la vie d’un enfant sont les premières étapes de son éveil. L’enfant
cherche, tâtonne, essaye aux mauvais endroits, force jusqu’à ce que cela
fonctionne, le tout sans aide, juste en procédant par des essais-erreurs. Quand
le puzzle est enfin terminé, la victoire est grande : il a réalisé ses
premières réussites en toute autonomie et de ce fait, il va commencer à prendre
confiance en lui.
L’enfant, quand il réalise un puzzle, développe et renforce plusieurs
capacités :
* Sa motricité fine : choisir la forme qui s’encastre au bon endroit
(la vue et le toucher sont impliqués en même temps).
* Sa concentration : si l’enfant ne se concentre pas, le jeu ne peut
pas avancer et n’est pas intéressant pour lui.
* Sa patience : il faut, la plupart du temps, effectuer plusieurs essais
avant de réussir.
* Sa capacité à résoudre des problèmes : l’enfant raisonne, analyse,
fait des déductions pour terminer le puzzle, il mène une véritable réflexion
sans s’en rendre compte.
* Sa socialisation : réalisés en groupe, les puzzles rapprochent les
enfants. Motivés par un but commun, ils s’entraident et cherchent ensemble la
solution.
Jeux de mémoire
Un jeu de mémoire pour enfants doit à la fois être amusant et
instructif. Il est tout à fait possible d’en créer.
* Ouvrir le réfrigérateur et lui demander de se rappeler des aliments
qui s’y trouvent.
* Ôter un aliment du réfrigérateur en demandant à l’enfant de quoi il
s’agit.
* Entraîner la mémoire en faisant appel à des accessoires comme
un paquet de cartes.
* Différents jeux sont envisageables : trouver la carte manquante
ou encore chercher les paires.
Les jeux de mémoire pour enfants ne doivent pas être ennuyeux. Il est
important que les petits s’y intéressent et y prennent plaisir.
Apprendre à jouer de la musique stimule le cerveau des enfants
Jouer d’un instrument de musique
permet au cerveau de l’enfant d’être plus performant et l’aide à devenir plus
autonome en grandissant. D’après les scientifiques, deux
fonctions exécutives sont particulièrement stimulées par la pratique musicale.
Il s’agit de la flexibilité mentale, soit la possibilité de jongler entre
plusieurs comportements selon la situation comme, par exemple, alterner des
additions et des soustractions dans un exercice de calcul. L’autre avantage
concerne la mémoire et sa capacité à se «remettre à jour».
Jouer d’un instrument ou écouter une mélodie génère de multiples effets
cérébraux. La quasi-totalité du cerveau est impactée, il n’y a pas une zone
dédiée à la musique. Comme pour la compréhension du langage, la musique est
traitée de différentes manières. Une partie du cerveau décode le ton et le
tempo, pendant que la mémoire et l’émotion sont mises à contribution.
Effet Tomatis
Alfred A. Tomatis, oto-rhino-laryngologiste, fut le premier à
observer, vers 1950, que « nous chantons grâce à nos oreilles ».
Il avait remarqué que les travailleurs d'usine ayant une perte d'audition
avaient fréquemment aussi des distorsions dans la voix. Il avait aussi noté que
les chanteurs d'opéra ayant des troubles de la voix pouvaient subséquemment souffrir
d’une perte auditive. Ce phénomène fut ensuite vérifié scientifiquement et
nommé « effet Tomatis ».
La méthode Tomatis est une méthode basée sur la « rééducation de
l’écoute ». Elle s’adresse aux personnes (enfants et adultes) aux prises
avec divers problèmes de voix, d'écoute, d'apprentissage ou de communication.
Parmi les troubles les plus souvent traités, on retrouve le déficit de
l'attention, les retards d'apprentissage, l’autisme, la dyslexie, les problèmes
de motricité et de langage, et les difficultés d’apprentissage de langues étrangères.
Les exercices effectués pendant les séances s'adressent spécifiquement
à la réception auditive, à l'expression verbale et au traitement de
l'information par le cerveau. Les sons entendus dans des écouteurs (musique ou
voix) sont modifiés électroniquement, constamment remodulés et graduellement
filtrés. Ils amènent la personne à développer une meilleure perspective
auditive et une meilleure auto-écoute.
Selon Tomatis, la première fonction que remplit l'oreille, chez le fœtus,
est d'aider à la croissance du cerveau. Malgré les bruits ambiants (cœur,
respiration et digestion de la mère), celui-ci distingue très bien la voix
maternelle dès quatre mois et demi. Cette perception est essentielle. Si la
nourriture transmise par le cordon ombilical alimente le corps, les ondes
sonores nourrissent le cerveau. À la naissance, l'oreille transforme
les ondes sonores en impulsions électro-chimiques qui chargent le néo cortex
et, par lui, le système nerveux entier se met en branle.
ALOHA Mental Arithmetic
Cette activité est dirigée aux enfants entre 5 et 13 ans dans le but de
mieux développer l'hémisphère droit du cerveau. Dans cet hémisphère, résident
la capacité de mémoire visuelle, de concentration et d'orientation, le contrôle
des aspects non verbaux de la communication, de l'intuition. Comme résultat du
développement de ces habiletés, les enfants s’améliorent dans toutes les
matières et, très spécialement, dans les Mathématiques.
Le programme utilise l'abaque comme instrument pour l'enseignement de
l'Arithmétique mentale et ses effets se verront d'une forme immédiate dans le
rendement scolaire. Ainsi, par exemple, grâce à l'apprentissage de l'usage de
l'abaque, les enfants sont capables de réaliser des opérations arithmétiques
jusqu'à 17 nombres simples sans aide de calculatrice, de crayon ou de papier. Au
bout d’un peu plus d'un an, un enfant peut mentalement résoudre des opérations
du type 506-125+368-670+847+483-194+375-123+793+120-499 sans plus d'aide que
celle de son cerveau.
À mesure que l'élève complète les niveaux, le programme se complique en
passant des additions et des soustractions, aux multiplications, aux divisions,
aux puissances, aux racines carrées et même à des opérations combinées, sans
calculatrice ou sans papier et crayon. Ils développeront aussi leur partie la
plus créatrice. Et avec toute ces habiletés acquises, les plus petits gagneront
en créativité et confiance en soi-même, en augmentant leur capacité de
concentration, de visualisation et d'écoute.
Initié en Malaisie, le programme ALOHA est actuellement adopté dans 45
pays à travers le monde.
À la base de l'apprentissage se trouve la petite calculette manuelle
chinoise appelée ABACUS, dont le système d'utilisation est inspiré d'une
méthode adoptée dans l'Antiquité par les commerçants de Babel.
La méthodologie du programme est basée sur le jeu et la participation.
Les enfants apprennent à utiliser l'abaque. Peu à peu ils commencent à
visualiser le boulier dans leur tête et à l'utiliser pour calculer, ce qui
augmente leur agilité mentale.
Le programme ALOHA Mental Arithmetic dure 4 ans et il est structuré
en 10 niveaux. Chaque niveau dure 3-4 mois. Il est divisé en deux cycles: Tiny
Tots y Kids.
Tiny Tots
* Il est dirigé aux enfants de 5 à 7 ans. Il commence plus lentement.
* Les enfants assistent aux cours deux fois par semaine.
* Pour compléter les séances, ils doivent réaliser 5 à 10 minutes
d'exercices quotidiens chez eux avec l’aide des parents.
* Des résultats sont visibles à partir des 6 mois.
* À la fin du cycle, les élèves Tiny Tots atteignent le même niveau que
les élèves Kids.
Kids
* Il est dirigé aux enfants de 8 à 13 ans. Il dispose d'un matériel plus
orienté au calcul.
* Les enfants assistent aux cours deux fois par semaine.
* Pour compléter les séances, ils doivent réaliser 5 à 10 minutes
d'exercices quotidiens chez eux avec l’aide des parents.
* Des résultats sont visibles à partir des 6 mois.
Les enfants réalisent un cycle ou un autre en fonction de l'âge avec
lequel ils commencent le programme.
N’importe quel cycle ils ont suivi, à la fin du même les enfants sont
capables de réaliser les mêmes opérations et à la même vitesse.
Écoulé cette période, il n'est pas nécessaire de réaliser des séances
supplémentaires ni aucun cours additionnel de renfort puisque le processus
d'apprentissage a terminé.
Au bout de six mois de suivre le programme, on remarque que l'enfant
est plus capable de résoudre des problèmes et de planifier à plus long terme
ses objectifs.
Cette méthode développe chez l’enfant
* Bonne Concentration
* Visualisation et créativité
* Confiance en soi
* Capacité d’écoute
* Compréhension
* Calcul Mental avec rapidité et précision
* Imagination
Un programme amusant. Les élèves s’amusent
tout en améliorant la concentration, l'agilité mentale, le calcul, la mémoire
photographique, la créativité.
Calcul mental. Avec la pratique, les enfants
sont en mesure de se passer entièrement du boulier pour calculer mentalement à
grande vitesse et peuvent résoudre des opérations sans plus d'aide que leur
cerveau.
Le cerveau. De nombreuses études scientifiques
ont montré que les gens utilisent généralement l'hémisphère gauche du cerveau
dans leurs activités quotidiennes. Grâce à ce programme, les enfants améliorent
le développement de l'hémisphère droit, ce qui rend l'utilisation simultanée
des deux hémisphères. Les capacités de concentration, la mémoire
photographique, l'orientation spatiale, la créativité résident dans le cerveau
droit.
Avantages pour la vie. Les enfants augmentent
considérablement leur capacité à se concentrer, éprouvent une amélioration
globale de tous les sujets. Les enfants sont en mesure de faire leurs devoirs
plus rapidement, les résoudre efficacement, n’oublient pas de textes et de
diagrammes. Toutes ces compétences acquises les accompagneront pour la vie.
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mon commentaire est essentiellement vous dire un énorme BRAVO J AI ADORE ET VRAIMENT J AI TROUVE SE DONT J AVAIS BESOIN MERCI ET BRAVO MADAME NADINE CANTP DIRECTRICE DE LA CRECHE ET MATERNELLE NID DOUILLET A AGADIR AU MAROC
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