Les amis sont importants pour aider les enfants à se développer
émotionnelle et socialement. Grâce aux relations
d'amitié, ils apprennent à établir des normes, à soupeser des alternatives et à prendre des décisions.
d'amitié, ils apprennent à établir des normes, à soupeser des alternatives et à prendre des décisions.
Nous sommes des êtres sociaux, nous avons un besoin fondamental de
relations avec nos semblables et l'effet de ces relations est déterminant dans
toutes les sphères de notre vie.
Notre cerveau n’existe pas de manière isolée mais plutôt comme un
composant interagissant constamment dans le théâtre de la vie. Ce théâtre est
indéniablement social. Il débute avec les soins prénataux, l’attachement
mère-enfant, les premières expériences de l’enfance et se termine par la
solitude ou le support social que la société et la famille procurent à la
vieillesse.
Cerveau social
Les fonctions cérébrales mettent en jeu un réseau de structures
impliquées dans les échanges avec autrui – le cerveau social – qui comprend
notamment le sillon temporal supérieur, l’amygdale, l’insula antérieure et le
cortex cingulaire antérieur. Ce réseau participe à la compréhension d’autrui, à
l’anticipation de ses réactions, à l’empathie et à tous les phénomènes de
résonances émotionnelles.
Ce cerveau social se manifeste par
un ensemble de mécanismes neuroniques qui régissent nos pensées et nos
sentiments dans leurs relations avec les autres. Grâce à ces neurones
sociaux, nous recevons l’influence des sentiments, des pensées des intentions
des autres et réciproquement nous influençons les autres par nos propres
sentiments, pensées etc.
Le neurone fusiforme fonctionne avec
une plus grande rapidité que les autres en nous guidant dans des décisions
sociales immédiates. Les neurones miroirs ont la capacité de recevoir le reflet
d’un acte, d’un geste, d’un sentiment que nous observons chez quelqu’un d’autre
et de provoquer en nous la tendance à imiter, à participer à cet acte. Ils créent des ponts extérieurs entre deux ou plusieurs cerveaux lors
d’une relation entre êtres humains.
Sortir avec quatre amis deux fois par semaine c’est bon pour la santé
Une étude conduite par le chercheur Robin Dunbar de l’Université
d’Oxford montre que les hommes qui interagissent dans des groupes sociaux sont
en meilleure santé, et récupèrent plus rapidement des maladies tout en devenant
plus généreux.
Les chercheurs ont découvert que l’homme a besoin pour son bienêtre de
sortir avec ses amis deux fois par semaine. Bien que le fait de parler avec des
amis au quotidien soit bon, les vrais bénéfices sur la santé des hommes est vue
quand ses amis interagissent autour d’une activité deux fois par semaine.
Malgré ces découvertes, deux hommes sur cinq dissent ne voir leurs amis
qu’une fois par semaine, un tiers moins d’une fois par semaine. Les hommes en
général consacreraient un cinquième de leur temps aux interactions sociales quotidiennes,
et ce à travers un réseau de 150 personnes en moyenne. La plupart du temps ses
interactions sont faites à travers les réseaux sociaux et les téléphones (sms,
appels).
L’étude aurait trouvé qu’il faut par contre se rencontrer en personne
pour éviter que les relations ne détériorent pas.
Quand le groupe dépasse les cinq personnes c'est déjà un grand nombre
et c’est démontré qu'il soit peu probable que des situations amusantes aient
lieu pour générer la production d'endorphines nécessaires au bien-être et au
bonheur.
L’étude a constaté que les hommes ont en général un cercle d’amis
proches avec quatre membres au plus.
De toute façon, les chercheurs ne recommandent pas de laisser la
famille de côté, mais considèrent que le fait de passer du temps avec le noyau
familier diminue les niveaux de stress qui causent les soucis de travail et
économiques.
Le volume et le degré de connectivité de certaines régions du cerveau sont liés à la taille du réseau social
Mary Ann Noonan, chercheuse à l’université d’Oxford (Royaume-Uni) et al, a présenté la teneur de ses
travaux lors du congrès Neuroscience 2013, tenu à San Diego. Ils
révèlent que, comme bien d’autres aspects de la biologie, la taille compte. Et
plus une personne a un réseau social large, plus grosses deviennent certaines
zones de son cerveau.
L’idée consiste également à déterminer visuellement les individus
disposant d’aptitudes sociales, et ceux qui, au contraire, vivent un peu en
marge de la société et connaissent des difficultés à s’insérer, comme les
personnes autistes ou schizophrènes.
Par des systèmes d’imagerie précis,
on pourrait estimer l’importance d’un cercle d’amis. Et identifier les sujets
solitaires et aux comportements sociaux « déviants ».
Les chercheurs
ont recruté 18 volontaires pour observer la structure de leur cerveau. Les
cobayes ont parallèlement indiqué le nombre et la fréquence de leurs
interactions sociales amicales lors des derniers mois, ce qui a servi à établir
le niveau de sociabilité de chacun d'eux.
Certaines régions cérébrales sont plus larges et mieux connectées chez
les personnes disposant des plus vastes réseaux sociaux, par rapport à leurs
homologues plus casaniers. Il s’agit de la jonction temporale pariétale, du
cortex cingulaire antérieur ou du cortex préfrontal rostral, des zones
impliquées dans l’aptitude à attribuer des états mentaux, des pensées et des
intentions à ses congénères.
Les auteurs ont constaté aussi que ces régions étaient d’autant mieux
interconnectées par des fibres nerveuses que les participants avaient de
nombreux amis. Comme des autoroutes de l’information nerveuse.
Un meilleur ami aide les enfants à faire face à des expériences négatives
Selon une étude canadienne publiée
dans la revue spécialisée Developmental Psychology en 2012, un entourage amical apporte de réels
bienfaits, tant sur le plan moral que physique.
L’étude a été effectuée auprès d’enfants âgés de 10 ans et 11 ans et
traversant des moments difficiles. Les chercheurs ont observé que l’enfant qui
traverse des moments difficiles profite systématiquement de la présence de son
meilleur ami. C’est que l’estime de soi et le taux de cortisol, une hormone que
produisent naturellement les glandes surrénales en réaction au stress,
dépendent beaucoup du contexte social de l’expérience négative.
L’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien Axe du stress |
La sécrétion excessive de cortisol peut d’ailleurs entraîner d’importantes modifications physiologiques comme l’immunosuppression ou un déficit de l’ostéogenèse. De même, un niveau de stress élevé peut ralentir le développement de l’enfant.
Les réactions physiques et psychologiques aux expériences négatives
vécues dans l’enfance se répercutent à l’âge adulte. L’identité de l’être
humain se forge autour de ce qu’il apprend sur lui-même dans son jeune âge.
S’il développe une faible estime de soi, son image personnelle en sera
directement affectée.
Les enfants ont besoin d’amis
et d'apprendre à être un bon ami
L'amitié a une place importante dans le développement de l'enfant. Elle
constitue sa personnalité et lui apprend des notions telles que le partage,
l'entraide ou l'écoute. Par ses amis, l'enfant apprend à avoir confiance en
lui.
Apprendre à se faire des amis et les garder représente l’une des
principales étapes du préscolaire et protège les enfants contre le
développement de problèmes psychologiques et scolaires ultérieurs.
On peut remarquer que certains enfants, dès l’âge de 3-4 ans, éprouvent
de la difficulté dans leurs relations avec les autres enfants. Entre 5 et
10 % des enfants expérimentent des difficultés chroniques, dont
l’exclusion et le rejet social ou le harcèlement verbal ou physique de leurs
pairs.
Le développement social est le fait
d’apprendre à se faire des amis, à partager et à jouer avec les autres. À
mesure qu’un enfant se développe sur le plan social, il apprend à composer avec
ses amis sur les choix des jeux, et il sait que son tour sur la balançoire ne
tardera pas. Il apprend à se contrôler et parvient à gérer les distractions.
Développement du sens de
l’amitié chez l’enfant
Chez l'enfant, l'amitié constitue leur première ouverture vers le monde
extérieur. Mais elle lui offre aussi de se voir à travers le regard de l'autre
et donc d'apprendre à mieux se connaître, tout en saisissant les règles
sociales propres à la vie en société.
Aider les enfants à créer des liens d'amitié. Au
cours de leurs premières années, les jeunes enfants apprennent beaucoup des
relations qu’ils entretiennent avec les enfants de leur âge –, leurs pairs.
L’art de tisser des liens d’amitié. Pour
certains, tisser des liens d’amitié se fait tout naturellement, alors que pour
d'autres l’exercice demande un effort.
Prévoir des occasions de rencontrer d’autres enfants. Jouer avec ses pairs constitue le meilleur moyen pour un enfant
d’acquérir des habiletés sociales et de les mettre en pratique. Un enfant dont
les habiletés sociales sont peu développées peut apprendre des autres qui
possèdent de meilleures aptitudes dans ce domaine. L’apprentissage par
mimétisme est en soi une bonne compétence à acquérir qui aide à évoluer sur le
plan social. Un enfant ayant une déficience gagne à côtoyer des enfants sans
déficience.
Favoriser l’acquisition d’aptitudes à communiquer. Un enfant qui est capable de communiquer avec ses camarades a plus de
facilité à se faire des amis. Déjà à un an, beaucoup d’enfants utilisent
le langage non verbal pour communiquer. À mesure que l’enfant vieillit, la
communication verbale prend de l'importance.
Le cerveau est programmé pour s'améliorer dans les rapports humains
L’affectivité est certainement
inscrite dans la matière – certains circuits cérébraux véhiculent des
informations affectives et émotionnelles – mais elle est surtout un besoin
profond et même vital dans les premiers mois du
développement. C’est grâce à son affectivité que le nourrisson se lie à ceux
qui s’occupent de lui en répondant à leur propre tendresse.
Ce besoin s’élargira au cours du temps en un besoin de partager l’existence
avec autrui : il faut vivre au milieu des autres. Ce qui pousse vers
autrui est probablement naturel ; le « cœur » anime le cerveau
et certaines zones cérébrales lui sont dédiées. Dans cette dynamique d’échange,
le cerveau bénéficie d’un effet de retour : les interactions humaines
accroissent les connaissances sur soi-même, les autres et le monde, et il est
vraisemblable que le cerveau croît en
augmentant ses connexions internes à mesure que on augmente les interactions
sociales.
Un cerveau n’existe jamais seul, mais toujours en résonance avec d’autres.
L’être humain est neuronalement constitué pour entrer en empathie avec autrui et
aller à son secours.
Un enfant seul ne parle pas. Mêmes si neurologiquement, génétiquement, il dispose de tout ce qu’il faut
pour parler, s’il n’y a personne d’autre qui parle autour de lui, il ne parlera
pas. Les cerveaux humains produisent des mots autour de l’enfant qui, petit à petit,
est stimulé par ces mots. Jusqu’au jour où, vers l’âge de dix ou douze mois, il
pointera le doigt vers un objet signifiant, il interpelle la «figure d’attachement»
(sa mère, son père, la personne qui s’occupe de lui) qui est sa base de sécurité.
Tous les bébés pointent, contents de partager leur cerveau avec celui de la personne
référente.
Importance des premières relations dans la vie de l'enfant. L'enfant se construit dans sa
relation à l'autre. Et plus cette relation est multiple, plus il aura
d'éléments à sa disposition pour s'ouvrir.
Les premiers amis des enfants, quand
ils sont encore des bébés, seront les peluches ou un autre jouet. Il voudra
être avec son ami, le prendre et jouer avec lui. Mais, le temps passe, et le bébé
sentira la nécessité de ne pas seulement partager son expérience avec sa maman,
son papa, ou avec ses frères (s'il en a). Il adorera être, bien
qu'inconsciemment, avec les autres égaux.
En grandissant, l'enfant aura envie
de décliner le lien de socialisation de différentes manières. Pour arriver à
cela, le temps d'intimité partagée des premiers mois de la vie joue un rôle
primordial. La relation privilégiée avec la mère, le père ou l'assistante
maternelle est nécessaire et constitutive de son développement. Plus le lien
créé avec une personne référente est intense et pérenne, plus il permettra à
l'enfant de tisser des liens multiples.
Étapes de l’amitié chez les
bébés et les enfants
Tout petit déjà, l'enfant met en place des liens privilégiés avec son
entourage, qui vont se transformer en liens de socialisation.
Dans les premiers mois de sa vie
le bébé perçoit très tôt le monde qui l'entoure. Il ne peut pas survivre sans une personne à ses côtés, qui va
prendre soin de lui. Il fait déjà la distinction entre lui-même et son
environnement humain dont sa mère, même s'il n'en a pas une idée très précise.
Beaucoup de travaux ont notamment été
menés autour de l'observation des bébés dans des milieux de vie communautaire
tels la crèche. Ils soulignent que dès ses premiers mois, le tout-petit montre
un intérêt pour les autres et fait des choix, non seulement de genre (fille ou
garçon), mais aussi de personnalité et de caractère. Certains enfants préfèrent
aller vers un tout-petit qui bouge beaucoup, tandis que d'autres vont préférer
la présence d'un enfant plus calme. Certains vont spontanément vers un enfant
charmeur et qui sourit, d'autres vers un enfant plus inhibé. Et cela se précise
en grandissant.
Vers l'âge de 2-3 ans, l'enfant se
rend compte de la présence d'un troisième protagoniste dans la relation qu'il
entretient avec l'autre. Dans son processus de socialisation, le tout-petit est
très vite capable d'aller vers les uns ou vers les autres, de façon
préférentielle.
L'enfant franchit une nouvelle étape
dans la socialisation avec l'entrée à l'école maternelle. Entre les deux, la
crèche a peut-être ouvert l'enfant à un groupe de 5 ou 6 enfants. À l'école, il
est désormais confronté à un grand groupe social, d'une vingtaine de pairs, ce
qui le pousse à s'affirmer et donc à grandir. C'est d'ailleurs à cette période
que le tout-petit entre dans l'âge du non. "Non, je ne veux pas mettre cet
habit-là... Non, je ne veux pas te donner ça...". Il témoigne de sa
volonté de s'opposer à l'autre afin de ne pas se confondre avec lui et de
pouvoir dire "je" de façon explicite. Son identité sociale se
construit ainsi, petit à petit.
Vers 8/12 ans on peut parler de premières amitiés. La complicité née entre les enfants à cet
âge laisse des traces pour la vie entière, tellement les sentiments sont forts
et les passions exclusives.
Les copains et copines inventent des
codes secrets, des rituels entre eux. Les groupes se forment autour d'un même
goût pour un jeu, d'une activité extra-scolaire en commun. Même si le mimétisme
et l'identification à l'autre sont grands vers 8 ans, les relations peuvent
montrer à l'enfant sa différence et lui prouver qu'il est unique.
L'amitié rassemble des enfants de
même sexe contrairement à la maternelle. L'ami
sert de double idéalisé : on se regarde dans l'autre et cette construction
en miroir donne peu à peu le cran suffisant pour exister par soi-même.
L'adolescence est
incontestablement la grande époque de l'amitié
À l'adolescence et jusqu'au début de l'âge adulte, le développement des
relations amicales est essentiel et même indispensable au murissement humain et
affectif. Il est comme une sève dont l'arbre aurait besoin pour grandir et se
solidifier.
C'est grâce à ses premiers camarades d'école que l'enfant se détache de
ses parents et élargit ses premiers horizons. Ensuite, l'amitié avec des
personnes du même sexe est un soutien essentiel durant les premières années
d'adolescence où il apparaît des transformations physiques et psychologiques.
On n'ose pas toujours et on n’a pas toujours envie de dire à ses parents tout
ce que l'on ressent. Il est précieux d'avoir alors un ou une confidente à son
image pour se rassurer et s'encourager.
Durant toute l'adolescence, les amitiés apportent un profond soutien
affectif à un âge où les relations avec les parents peuvent être plus tendues
et moins affectueuses. Les amis peuvent procurer de l'attention, de la
disponibilité, rendre des services, écouter, faire des cadeaux et
réciproquement. Avec le temps, la diversité des amitiés aide aussi à élargir les
centres d'intérêt, les opinions, bref à forger la personnalité.
Rôle des parents
* L'amitié est essentielle dans la vie. Il est
important de préparer ses enfants à pouvoir se faire des amis, à être capables
de s'engager dans une relation sans avoir peur d'être abandonnés. En parallèle,
il faut leur permettre de trouver leur façon de s'investir dans l'amitié
(beaucoup de copains, peu d'amis ou deux amis et pas de copains, etc.).
* L'amitié ne se force pas. Il faut laisser
ses enfants construire leurs amitiés à leur manière et selon leurs affinités.
* Veiller à l'équilibre de leurs relations. Il
ne faut pas se mêler de leurs choix amicaux mais il faut s'assurer de la
qualité de leurs relations : qu'ils ne soient ni tyrans, ni soumis, ni
victimes. Si cela arrive, ne pas exiger que cela cesse de façon autoritaire, il
convient d'expliquer ce que l'on ressent face à ces comportements afin que
l'enfant puisse avancer.
* Leur donner une image positive de l'amitié.
Pour que les enfants aient des amis, il faut leur transmettre une ouverture
d'esprit leur donnant envie d'aller vers les autres et de partager avec
d'autres milieux, d'autres cultures. Ils seront sociables si leurs parents le
sont.
* Le manque d'amis est inquiétant. Il faut se
préoccuper d'un manque d'amis à tout âge, quelles que soient les raisons et
encourager l'amitié. Si cela ne s'arrange pas malgré conseils et
encouragements, une aide psychologique peut permettre de comprendre ce qui ne
va pas.
* Les frères et sœurs ne sont pas des amis. Ce
n'est pas parce qu'un enfant a des frères et des sœurs qu'il peut se passer
d'amis. La relation amicale est très différente de la relation fraternelle.
* Prendre au sérieux les chagrins d'amitié. Il
faut consoler et encadrer les enfants mais ne pas chercher à les préserver de
ces peines, elles leur apprennent à faire la différence entre vraie et fausse
amitié et à trouver les limites de ce que l'autre peut entendre sans être
blessé.
* Les enfants sont amis à leur façon. La
conception adulte de l'amitié n'est pas transposable : les adultes
conçoivent l'amitié dans la durée tandis que celle des enfants est plus
versatile.
Les parents ont un rôle essentiel
dans l'apprentissage mais ne peuvent pas forcer les choses ni être intrusifs dans la vie
relationnelle de leurs enfants. Ils doivent l'écouter, être présents, lui
montrer qu'ils sont à ses côtés et le soutiennent dans toutes les situations.
Les parents sont les premiers exemples que les enfants ont sous les yeux. Des
relations d'amitié entre adultes montrent aux enfants qu'être amis, cela arrive
à tous les âges et que ce sont de beaux sentiments qui se perpétuent tout au
long de la vie. C'est aussi l'expérience du lien social et d'un certain comportement
qu'ils voient dans les liens tissés par leurs parents avec des tiers.
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