Téléphones mobiles. Le téléphone mobile permet de communiquer en utilisant un réseau de stations de base quel
que soit l'endroit où l'on se trouve. Le téléphone mobile et la station de base
à laquelle il est rattaché s'échangent les informations par le biais d'un
rayonnement électromagnétique à haute fréquence (radio).
Le
rayonnement est particulièrement élevé à proximité de sa source, à savoir
l'antenne du téléphone mobile. L'appareil auditif est fortement exposé lors
d'un appel avec le téléphone mobile à l'oreille. Le rayonnement n'est important
que lorsque le téléphone émet, et non pas lorsqu'il se trouve en mode veille.
L'usager
d'un portable est exposé à des champs de radiofréquence beaucoup plus intenses
que ceux qui sont présent dans l'environnement. Ces portables sont tenus très
près de la tête, aussi plutôt que de s'intéresser à l'effet thermique produit
dans l'ensemble du corps, il faut déterminer la distribution de l'énergie
absorbée au niveau de la tête de l'utilisateur.
Ce
rayonnement diminue de façon significative avec la distance entre l'utilisateur
et l'appareil.
L'intensité
de l'exposition pendant une conversation téléphonique dépend de plusieurs
facteurs:
* Le
rayonnement d'un téléphone mobile est d'autant moins élevé que la liaison est
de bonne qualité. La qualité de la communication est par exemple meilleure à
l'extérieur d'un bâtiment qu'à l'intérieur et à proximité d'une station de base
plutôt qu'éloigné.
* L'écran
du téléphone mobile affiche la qualité de la liaison sous forme de barres. La
partie du rayonnement absorbée par la tête lorsqu'on téléphone dépend du modèle
de téléphone. La valeur TAS (taux d'absorption spécifique) indique l'intensité
de l'exposition. Plus sa valeur TAS est petite, plus le rayonnement absorbé par
le corps est faible. Les valeurs TAS figurent dans les modes d'emploi ou sur
Internet.
Taux d'absorption spécifique (TAS)
Les
ondes téléphoniques sont en réalité des ondes électromagnétiques. Une onde
électromagnétique est la combinaison de deux "perturbations", l'une
est électrique, l'autre est magnétique. Ces deux perturbations, qui oscillent
en même temps mais dans deux plans perpendiculaires se déplacent à la vitesse
de la lumière et lorsqu'elles rencontrent un obstacle, une partie de l'onde est
diffusée, l'autre partie est absorbée et transformée. Ces ondes peuvent
permettre de transporter des informations, comme des images, des sons, ou
encore des données, c'est le principe de fonctionnement de beaucoup
d'appareils, comme la télévision, les satellites et les portables.
L'indice
DAS, ou débit d'absorption spécifique (SAR – Specific Absorption Rate). Il
correspond au niveau de radiofréquences émis par le portable vers l'utilisateur
à une puissance maximale et dans les pires conditions possibles. Il se mesure
en Watts par kilogramme.
Les
rayonnements ionisants à forte dose ont un risque élevé pour la santé, et
peuvent provoquer des cancers. C'est pourquoi l'indice DAS en Europe depuis le
décret du 8 octobre 2003 est de 2W/kg pour 10g de tissus.
À
une époque où le téléphone portable est devenu inévitable, même chez les
enfants, plusieurs études ont d’ores et déjà tenté de déterminer les risques
réels de son utilisation.
Pour
mieux répondre aux interrogations, des scientifiques tentent quotidiennement, à
plus petite échelle, de déterminer les effets des mobiles sur la santé
d’animaux modèles, voire sur la santé humaine.
Les
découvertes faites au cours des dernières années par plusieurs
équipes semblent accabler les téléphones mobiles, dont les effets seraient
particulièrement visibles au niveau du cerveau et de la fertilité.
Les radiations des téléphones portables
affectent le cerveau et le métabolisme du glucose
Une
étude publiée en février 2011 par le Journal American Medical Association
montre que l'utilisation d'un téléphone portable pour une conversation pendant
une heure stimule certaines parties du cerveau les plus proches de l'antenne du
téléphone.
Actuellement,
le meilleur moyen est d'utiliser des écouteurs ou haut-parleur, en particulier
chez les enfants et les adolescents parce que leur cerveau est beaucoup plus
vulnérable, a déclaré le Dr Nora Volkow, auteur principale et directeur de l'Institut
national américain sur l'abus des drogues de Bethesda.
Le
simple fait de coller un téléphone portable à l'oreille augmente significativement
l'activité du cerveau. Plus précisément, les ondes électromagnétiques ont un
impact sur le métabolisme d'une région du cerveau sans qu'il soit pour autant
possible de conclure à un danger réel sur la santé de l'utilisateur.
Les ondes électromagnétiques ont un impact sur le métabolisme d'une région du cerveau |
Pour
réaliser leurs travaux, ces chercheurs ont étudié et enregistré les réactions
cérébrales de 47 patients à qui ils ont placé sur l'oreille un téléphone
portable pendant cinquante minutes. Les cobayes ne devaient pas parler et aucun
son ne sortait de l'appareil qui a été placé tour à tour sur leur oreille
droite et gauche. Ils avaient reçu à deux reprises une injection de
fluodésoxyglucose (un traceur). Le but étant de mesurer le métabolisme du
glucose dans le cerveau, un important marqueur de l'activité cérébrale, une
fois avec le portable activé (sans le son) et ce durant cinquante minutes puis
ensuite avec le téléphone désactivé.
Les
médecins ont ainsi pu comparer le lien entre l'activité métabolique du glucose
et l'amplitude de la fréquence des signaux électromagnétiques émis par
l'appareil. Après ils ont pu observer sur des images l'impact du portable sur
le métabolisme du glucose dans le cerveau humain.
Les
chercheurs ont constaté qu'une utilisation de cinquante minutes d'un mobile
augmente le métabolisme du glucose dans une région du cerveau située au niveau
de l'oreille, donc proche de l'antenne du téléphone. Leurs conclusions sont
intéressantes car ils ont découvert que ce métabolisme ne variait pas sur
l'ensemble du cerveau mais uniquement sur la zone située à proximité du
téléphone portable, à savoir le cortex orbitofrontal et le pôle temporal. À cet
endroit précis, le métabolisme du glucose était environ 7 % plus élevé
comparé à la période durant laquelle le téléphone était éteint.
Téléphonie mobile et barrière
sang-cerveau
Une étude publié en 2002 et
réalisé par des chercheurs suédois de l’université de Lund, dirigée par Leif
G. Salford a informé avoir trouvé une relation directe entre l’utilisation
des téléphones mobiles et les tumeurs du cerveau.
Les effets des champs
électromagnétiques des radiofréquences sur la barrière sang-cerveau et sur la
croissance des tumeurs chez les mammifères sont étudiés par ces chercheurs
depuis plusieurs années. Les effets des champs électromagnétiques de
radiofréquences se sont révélés être la cause d'une augmentation significative
de fuite d'albumine à travers la barrière sang-cerveau de rats exposés,
comparativement à des animaux non exposés. Ces expériences ont été réalisées
sur plus de mille animaux.
Une barrière sang-cerveau
intacte protège le cerveau des dégradations, alors qu'une barrière sang-cerveau
fonctionnant mal permet l'entrée dans le tissu cérébral de molécules
hydrophiles qui seraient normalement exclues.
L'effet le plus prononcé
d'ouverture de la barrière sang-cerveau par le téléphone cellulaire peut ne pas se produire dans les couches les plus superficielles du cerveau, mais à
plusieurs centimètres de profondeur dans les structures cérébrales centrales.
Conclusion. Si les
communications mobiles provoquent chez les usagers la fuite de leur propre
albumine à travers la barrière sang-cerveau, laquelle est censée protéger le
cerveau, d'autres molécules indésirables et toxiques du sang peuvent également
passer dans les tissus cérébraux et se concentrer dans les neurones ainsi que
dans les cellules gliales. Il ne peut être exclu que ceci (spécialement après plusieurs
années d'usage intensif) puisse promouvoir le développement de maladies
auto-immunes et neuro-dégénératives. Les industriels de la téléphonie mobile – et les politiciens – ont la lourde responsabilité de soutenir l'exploration de
ces risques possibles pour les usagers et la société.
30 minutes d'exposition aux radiations de
téléphone 4G affecte l'activité du cerveau
Étude
publiée par des chercheurs de l’Université de Californie, Berkley dans la revue
de Neurophysiologie clinique évaluée par des pairs en septembre 2013.
Pour
éliminer des biais dans l'étude les chercheurs ont utilisé une recherche en
double aveugle, croisée, à répartition aléatoire, pour exposer les participants
à des expositions réelles et fictives. L'état de repos de l'activité cérébrale
de chaque participant a été mesuré par imagerie en résonance magnétique (IRMf)
deux fois, après l'exposition au rayonnement de fréquence radio LTE, et puis de
nouveau après une exposition fictive.
L'état de repos de l'activité cérébrale mesuré par IRMf |
Les résultats démontrent que la fréquence radio de rayonnement de la technologie LTE 4G affecte l'activité neuronale dans le cerveau, à la fois dans la région du cerveau plus proche et dans la région à distance, y compris l'hémisphère gauche du cerveau.
Les
effets à long terme de l'exposition à la LTE 4G n'ont pas encore été étudiés,
mais on observe déjà très nettement le lien entre ces expositions et une
myriade d'effets biologiques néfastes, notamment:
* les dommages au sperme
* du
glucose en quantité accrue dans le cerveau
* des
os plus fragiles
* un
stress génétique
* dysfonction du système immunitaire
* des
effets sur les enfants à naître
Plus
inquiétant est le lien entre ces expositions et une longue liste de maladies
telles que:
* La
maladie d'Alzheimer
* L'autisme
* Les tumeurs du cerveau
* Le
cancer du sein
* Le
cancer du cerveau
Dormir avec son smartphone est devenu une
source très fréquente de manque de sommeil
Étude
publiée en mai 2013 dans la revue Nature par le docteur Charles A. Czeisler, expert des rouages du sommeil qui travaille à la Harvard Medical School et au
Brigham and Women's Hospital (Boston).
L'étude lance une alerte concernant l’impact négatif et croissant de l’utilisation
nocturne des multiples écrans qui nous environnent.
Un manque de sommeil qui s’explique par plusieurs aspects. Le premier est l’hypervigilance ou le sentiment d’être toujours en alerte afin d’être prêt à répondre si jamais on reçoit un message. Le cerveau va surveiller la situation. Par conséquent, le sommeil sera plus léger et plus enclin à être dérangé.
Le
Dr Czeisler s’intéresse aux effets physiologiques des lumières artificielles
qui frappent les rétines entre le crépuscule et l'aube. Selon lui, la lumière
nocturne qui affecte nos rythmes circadiens est bien plus puissante que
n'importe quelle drogue. Il fait référence aux éclairages provenant des
ordinateurs, smartphones ou autres tablettes, et estime que ce nouveau facteur
lumière joue un rôle plus important encore sur les troubles du sommeil que la
caféine, le stress lié au travail ou une alimentation déséquilibrée.
La
lumière émise par l’écran du smartphone constitue un danger pour le sommeil.
Celle-ci perturbe le rythme naturel du corps puisqu’elle lui laisse croire que
le jour est levé. Cette lumière comporte beaucoup de lumière bleue qui a un
effet stimulant pour le corps.
Les
ondes radio peuvent affecter l’activité du cerveau avant de dormir. Par
exemple, si l’on passe un appel de 30 minutes avant de se coucher, l’activité
électrique du cerveau sera augmentée et il y aura davantage de difficultés à s’endormir.
Le développement cérébral de l’enfant est
menacé
L'Office
National de Protection Radiologique du Royaume Uni (National Radiological
Protection Board) a nommé à la fin des années 90 un groupe d’étude sur la
sécurité des téléphones portables. Le professeur William Stewart a présidé
cette enquête dont le résultat fut la publication du rapport Stewart sur les
téléphones portables et la santé.
Dans
un nouveau rapport publié en janvier 2005, Stewart a non seulement répété son
avertissement concernant les enfants qui sont le plus en danger, mais il a
également réclamé un examen du procédé de planification pour des stations de
base. Il a rapporté qu'il y aurait à ce sujet une nouvelle preuve selon
laquelle il pourrait y avoir des implications possibles sur la santé.
Un
enfant sur quatre de sept à dix ans a un téléphone portable, soit une
proportion qui est le double de ce qu'il était en 2001.
L'utilisation de téléphones mobiles par les
femmes enceintes pourrait être un facteur d'hyperactivité chez les nourrissons
Des
chercheurs de la Yale School of Medicine, à New Haven, au Connecticut, dans une
étude publiée par la revue Nature Scientific Reports en 2012 ont découvert que les
descendants de ceux qui sont exposés à des radiations ont tendance à être plus
hyperactifs et à avoir une capacité de mémoire réduite, s'appuyant sur des
expériences avec des souris enceintes.
Cette
étude montre que l'exposition aux rayonnements des téléphones portables pendant
la grossesse peut causer des troubles du comportement chez des enfants plus
tard dans la vie.
Pour l’expérience, des
téléphones portables ont été placés au-dessus des cages de souris pendant les
19 jours de leur gestation. A la naissance, aucune différence n’est notable
mais une fois adulte, les souris exposées in utero avaient développé une forme
d’hyperactivité ainsi que des troubles de la mémoire.
L'auteur
principal, Hugh S. Taylor a déclaré que le rayonnement affecte le développement
du cerveau des bébés dans l'utérus, en particulier dans la région du cortex
préfrontal, la même zone qui concerne les troubles d'hyperactivité avec déficit
de l'attention (THDA). Bien que les chercheurs notent que les souris naissent
avec un cerveau moins développé que les bébés humains, ils pensent qu'il est
prudent de limiter l'exposition du foetus aux ondes du cellulaire.
Avant toute mesure restrictive
sur l’utilisation du téléphone portable pendant la grossesse, ces chercheurs en
biologie jugent nécessaires de mener de nouvelles expérimentations sur les
humains et les primates afin de déterminer si le risque est le même que sur la
souris.
Les enfants et les bébés à naître courent
un plus grand risque de dommages cérébraux
Étude
réalisée par Lloyd Morgan et al – chercheur au département environnement et
santé de l'Université de Berkeley – publiée dans la revue médicale The Journal of Microscopy and Ultrastructure
en octobre 2014.
Les enfants
et les bébés à naître courent un plus grand risque de dommages corporels dus
aux ondes dégagées par les appareils sans fil. On a trouvé que le tissu
cérébral des enfants absorbe environ deux fois plus d'ondes que celui des
adultes et que la moelle osseuse des enfants en ingère 10 fois plus que celle
des adultes.
Selon
les résultats de leur travail la tête des enfants étant plus petite et leur
crâne plus mince et plus perméable, leurs tissus cérébraux absorbent plus
d'ondes que ceux des adultes. Le portable est donc plus dangereux pour eux.
Les
chercheurs mettent aussi l'accent sur les foetus, particulièrement fragiles et
dont le développement peut être altéré : une exposition aux ondes dans le
ventre de leur mère peut abîmer la gaine qui entoure les neurones de leur
cerveau.
Les
précautions à prendre :
* tenir son portable à au moins 15 centimètres de son oreille quand on téléphone, ce qui signifie qu'il faut utiliser un kit main-libre.
* éloigner le plus possible le téléphone de sa tête quand on dort. Ne pas le laisser sous son oreiller ou sur sa table de nuit. Cette recommandation est encore plus importante pour les adolescents qui ont l'habitude de s'endormir avec leur portable.
* éviter de téléphoner avec un portable si on allaite et de le mettre près de son ventre si on est enceinte.
* disposer les appareils de type baby-phone loin du lit des bébés.
Lien entre l’apparition de tumeurs du
cerveau et l’utilisation du téléphone portable
Jusqu’à
maintenant, les recherches réalisées ont eu pour but de lier l’apparition de
tumeurs du cerveau à l’utilisation de téléphone portable. Ce sont
principalement des études épidémiologiques qui ont été effectuées. Elles
évaluent les risques potentiels de l’exposition aux ondes électromagnétiques.
Cependant, les recherches ne peuvent étudier que les cancers qui apparaissent
rapidement, car, en général, il faut environ une dizaine d’années pour voir se
développer un cancer du cerveau.
Interphone
L’étude épidémiologique Interphone est la plus grande étude qui cherche à savoir s’il existe une relation entre l’usage du téléphone mobile et les tumeurs de la tête. Cette étude est dirigée par l’unité de recherche sur les rayonnements du Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC). Elle a été réalisée entre 2000 et 2008.
Cette
étude concerne plusieurs pathologies, dont le gliome. Il s’agit d’une étude
épidémiologique comparant cas et témoins, c'est-à-dire une étude qui vise à
comparer une population de personnes atteintes de la pathologie étudiée avec
une population saine, pour analyser si l’exposition aux ondes téléphoniques
apparaît comme un facteur associé à la pathologie. Tous les pays ont suivi, à
quelques variantes méthodologiques près, le même protocole et ont utilisé le
même questionnaire. Cette étude regroupe les statistiques de treize pays :
France, Royaume-Uni, Allemagne, Italie, Danemark, Suède, Norvège, Finlande,
Canada, Japon, Nouvelle-Zélande, Australie, Israël.
L’étude
recueille de nombreuses données, telles que l’intensité de l’usage des
téléphones portables ainsi que la durée des appels, le nombre d’années d’usage
ou encore le fait de l’utiliser en se déplaçant, chez les cas et les témoins.
Des programmes de contrôle ont été créés pour répertorier les données. Les
analyses statistiques sont réalisées après le regroupement des données de tous
les pays.
Depuis
ces dernières années, les leucémies sont devenues les cancers les plus
fréquents chez les enfants autour de l’âge de 2 ans. Selon les scientifiques,
il y aurait au moins deux étapes conduisant à un processus de cancérisation,
une première intra-utérine, puis une seconde après la naissance. Pour la
seconde, les facteurs et les expositions environnementaux seraient mis en jeu.
Autres que les radiations ionisantes d’origine naturelle comme le radon, les
champs électromagnétiques à basses fréquences seraient l’une des causes
possibles.
Les
études épidémiologiques montrent que les enfants fortement exposés à des champs
électromagnétiques ont une probabilité deux fois plus élevée de développer un
cancer de type leucémie.
Comment se protéger contre les ondes
nocives des téléphones portables ?
* Limitez autant que possible le temps d’utilisation de votre téléphone.
* Réduisez
l’utilisation du téléphone portable aux appels les plus nécessaires ou les plus
brefs possible.
* Privilégiez
les textos aux appels.
* Choisissez un téléphone à faible rayonnement (DAS).
* Lorsque vous téléphonez, utilisez le haut-parleur ou un kit main libre.
* Si vous n’utilisez pas de kit mains libres, éloignez le téléphone de votre
oreille pendant la connexion de votre appel.
* Éviter l’utilisation de votre portable dans des espaces métalliques (ascenseur
ou voiture).
* Évitez les appels dans les endroits où le signal réseau est faible.
* Protégez-vous contre les ondes électromagnétiques (dispositif de protection EMF
scientifiquement validé appliqué sur le dos des téléphones portables).
* Mangez
sainement. Il a été démontré que les radiations réduisaient les quantités
d’antioxidants et de certaines vitamines dans notre organisme.
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